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vent avoir peur de la guerre. Car avoir peur d’un
accident
, c’est entrevoir, imaginer ses conséquences, et la guerre est la supp
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l’état-major. Elle a d’ailleurs coïncidé avec un
accident
au genou qui m’interdit encore tout exercice physique violent et tout
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al est d’au moins trente m’affirme-t-on, et les «
accidents
» sont fréquents. Paradoxe du siècle où tout est fait pour réduire l’
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leur foi. 12 novembre 1940 Efficiency. — L’
accident
le plus fréquent à New York, c’est le grain de poussière que le vent
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nt offert les écrivains, et finalement ce stupide
accident
— au genou de nouveau, sur un court de tennis — qui va me paralyser p
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’est arrêtée à mon entrée. Le lendemain, j’ai mon
accident
en faisant quelques balles à San Isidro, la maison de campagne de V.
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u me taire ? D’après ses signes, il doit avoir un
accident
entre le 28 et le 31 de ce mois. » J’ai décidé de ne rien dire et je
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les jours critiques, sans bouger pied ni patte, l’
accident
vous serait arrivé sur un autre plan, plus dangereux. Vous l’avez pri
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s tout c’est le moins grave. Les spectateurs de l’
accident
m’ont dit : « C’était bizarre. Il n’y avait pas de raison. On eût dit
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îne, pendant trois jours, et provoque une série d’
accidents
. On ne sait jamais quand cela va commencer, mais ce n’est pas plus d’
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une école de pilotage. Mais coup sur coup quatre
accidents
mortels en une semaine… C’était le moment du grand krach, en 1929. To
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bien qu’il y a les visas. N’acceptons pas que cet
accident
tardif de la démence nationaliste dénature le problème humain. Lançon
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urs l’honneur qu’on pense, mais souvent un simple
accident
. Je vois les Suisses qui se disent honteux de n’avoir pas souffert co