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ssent l’oxygène, asphyxient la faune maritime. Un
accident
du type Torrey Canyon, survenant à un pétrolier de 500 000 ou de 1 mi
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a du coût des centrales nucléaires et de quelques
accidents
majeurs : tout cela paraîtra largement dans le calcul du PNB par habi
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osmiques, eaux minérales. Alors ? — Mais en cas d’
accident
, que se passerait-il ? insistent d’éternels inquiets. On leur répond
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ute autre branche de l’industrie ». Pas un seul «
accident
majeur » à déplorer et pas une mort depuis la mise en marche de la pr
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, à les minimiser s’ils étaient confirmés par des
accidents
de fonctionnement, qu’on nommait alors incidents ; cette manière comm
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rayon de cent kilomètres. Sur la question des
accidents
. — Dès 1970 « des calculs faits pour un réacteur d’environ 150 MW, si
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conditions d’air stagnant, ont indiqué qu’un tel
accident
provoquerait 133 000 morts et 181 000 blessés immédiatement, avec des
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utes les déclarations officielles sur l’absence d’
accidents
dans les centrales, P. Samuel écrivait : Des dizaines d’accidents se
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s centrales, P. Samuel écrivait : Des dizaines d’
accidents
se sont déjà produits dans des centrales atomiques. Plus généralement
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es. Plus généralement, on a dénombré un millier d’
accidents
et d’incidents survenus dans des installations atomiques entre 1945 e
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Falls aux États-Unis. Et il donnait une liste d’
accidents
« assez graves » survenus dans la seule année 1969 à Lucens (Suisse),
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ransports nécessaires et la fréquence moyenne des
accidents
indique qu’il faudrait compter sur un accident grave tous les huit an
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s accidents indique qu’il faudrait compter sur un
accident
grave tous les huit ans. Un dernier déchet est le réacteur atomique
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cabine, imperméable, devant fonctionner en cas d’
accident
comme une bouée de sauvetage. Ce défi flottant de l’humanité technici
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cinq heures et demie d’incendie, juste avant « l’
accident
majeur ». Dégâts estimés à 100 millions de dollars et plus d’un an d’
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usage éventuel d’une bougie… 2. « Pas un seul
accident
mortel ne s’est produit. » — « Les réacteurs en service, au nombre de
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, des milliers d’« incidents » et une trentaine d’
accidents
sérieux sont déjà connus. La probabilité d’accidents graves est presq
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idents sérieux sont déjà connus. La probabilité d’
accidents
graves est presque nulle, s’obstinent à répéter les promoteurs. Le ri
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risque n’en demeure pas moins inacceptable, car l’
accident
s’il se produit, sera presque total pour de vastes contrées. Et l’on
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000 signifie la sécurité pour cent-mille ans : l’
accident
peut se produire avant la fin de ma phrase. Au reste, selon le biolog
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e Jaurès Medvedev, « quelque chose » (incident ou
accident
?) se serait déjà produit en URSS aux premiers temps du nucléaire (19
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s personne n’a osé supputer les conséquences d’un
accident
majeur dans un surgénérateur tel que celui que la France entend const
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48 ». D’ici là, le plan ORSECRAD a prévu en cas d’
accident
, des « contrôles et décontaminations éventuels du personnel regroupé
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rt, ce « progrès » mesuré par l’accroissement des
accidents
, des maladies, de la pollution, du bétonnage, de la criminalité, etc.
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suffi à créer des désastres. Mais il y a mieux. L’
accident
totalement imprévisible selon le Hudson Institute, c’est la crise mon
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elève encore de l’hygiène ou de la prévention des
accidents
, on peut se défendre si l’on sait, si l’on est informé à temps. Plus
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roductrices d’énergie jurant qu’il n’y aura pas d’
accidents
dans les centrales, que s’il y en a, ils ne seront pas mortels, et qu
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ial des foules solitaires. 5. — En attendant les
accidents
majeurs seuls capables de nous faire accepter quelques solutions de b
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é topographique ou orographique délimitée par des
accidents
naturels, fleuves ou montagnes. On parle ainsi de la « cuvette genevo
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es actuelles… sont fondées sur une longue série d’
accidents
et de coïncidences historiques… Chacun s’est forgé une histoire natio