1 destin, gagée par une mesure universelle que ses actions comblaient exactement. Mais notre gloire ne saurait être mesurée : c’

2 onstances sont enfin devenues favorables pour une action plus large et constructive. Les événements eux-mêmes se sont chargés

3 fédéralisme. Ils définissent une attitude et une action . Certes, beaucoup de philosophes s’étaient intitulés « personnalistes

4 rer sa doctrine comme le fondement immédiat d’une action politique, d’une économie, d’un régime social, et même d’une esthétiq

5 alisme qu’en indiquant certaines des tentatives d’ action les plus typiques qu’elle inspira avant cette guerre. Un service ci

6 s d’une société idéale, mais quelques principes d’ action . Car il s’agissait pour les personnalistes d’un changement spirituel

7 s les plus divers. Il était prêt à déclencher une action en profondeur d’abord, puis publique. Une trentaine de volumes, deux

8 dées neuves. Hors d’eux-mêmes s’opposaient à leur action  : les grands intérêts capitalistes, les politiciens démagogues, l’ins

9 le bas (involution dans la matière) et ondulant ( action vibratoire de l’intellect créateur). L’Anubis, ou Hermanubis, mi-loup

10 mporte qu’un nombre fini d’éléments. Le lieu de l’ action est circonscrit : c’est généralement une maison dont il semble que pe

11 définition du jeu proposée par J. Huizinga5 : une action dont le début et la fin sont nettement marqués, qui a lieu dans un es

12 roman historique garde le bénéfice du cadre : son action circonscrite par définition, est isolée du réel quotidien par l’éloig

13 l n’utilisât que leurs tabous comme ressorts de l’ action , ou qu’enfin il se fît un prestige de les contredire et miner. Tout c

14 inon qu’il fut lui aussi un poète, en prose et en action , en vision créatrice. 13. Saint-Exupéry, l’auteur de Vol de Nuit et