1 faire. Le fédéralisme postule donc toujours une action au niveau de la vie concrète. Pourquoi cette filiation de la personne

2 iction démentielle dans laquelle ils vivent. Leur action réelle est parfaitement définie par leurs intérêts économiques mais q

3 pas celui « des années 1930 ». Il portait sur mon action personnelle en juin 1940. Juin 1940, c’est « pendant la guerre ». C’e

4 st qu’après la guerre que je me suis lancé dans l’ action fédéraliste, laquelle m’occupe depuis quelque trente-cinq ans. Cela é

5 ettre ouverte aux Européens — autant que par son action d’initiateur du fédéralisme européen, Denis de Rougemont apparaît com

6 cru possible. Ce fut à la fois le ressort de son action créatrice, et son illusion majeure, bientôt dénoncée comme telle par

7 onnaliste : ils m’ont jeté bon gré mal gré dans l’ action fédéraliste européenne, en m’offrant de tenir le discours inaugural d

8 . Je me suis trouvé vraiment catapulté dans cette action . Comme j’étais un peu responsable de la création du concept d’engagem

9 s ! » Mais ce n’était pas le moyen de nourrir une action précise, étant donné qu’aux yeux de nos gouvernements, les choses sér

10 ité non seulement d’un institut mais d’une grande action qui serait à la fois à l’échelle régionale et à l’échelle planétaire,

11 mon œuvre littéraire, mais sans doute aussi à mon action pour l’Occident, pour l’Europe d’abord. Ce livre, très vite traduit e

12 devait définir les objectifs et les méthodes de l’ action pour l’Europe dans le domaine culturel, au sens le plus large du term

13 et philosophique et des énergies mobilisées par l’ action européenne sous toutes ses formes. L’une nourrit l’autre. Les intelle

14 l’édition française, qu’au moment où se déroule l’ action de son roman, l’Europe entière a été absorbée par la Russie soviétiqu

15 me frappée de stupeur interdite, par la voix et l’ action d’un chrétien à la fois libertaire et solidaire, Lech Walesa. Mais il

16 ge de réagir, jamais il n’a montré les buts d’une action libératrice, ni les finalités de l’esprit, seules capables de l’anime

17 uels de dépassement des frontières étatiques et d’ action pour une union culturelle qui transcende les actuelles frontières sta

18 ns ; et dans le domaine spirituel, en rappelant l’ action du pape pour l’union de l’Europe. Tout au long de ces trois journées,

19 ale du chaos. Toute pensée désormais doit devenir action , sinon elle court le risque de n’être bientôt plus qu’une note en bas

20 mique de comparatisme à grande échelle, mais sans action , je propose que ce Dialogue des cultures s’instaure autour de quelque

21 i un groupe le choisit pour le représenter, par l’ action publique. Platon et Aristote en ont beaucoup parlé. Aristote surtout

22 s’assume dans ses incertitudes, on les dépasse en action . Vous voyez, nous sommes ici assez loin du catéchisme traditionnel, e

23 is mes relations avec la société, la politique, l’ action dans la communauté… Tout de suite après, je me mettrai à La Morale d

24 r de mes journées, depuis plus de trente ans, à l’ action . Qu’est-ce à dire ? Action pour l’Europe fédérée dès 1946, fondation

25 lus de trente ans, à l’action. Qu’est-ce à dire ? Action pour l’Europe fédérée dès 1946, fondation et direction effective pend

26 gne d’éducation civique et d’une dizaine d’autres actions … Avec tout ce que cela nécessite de tâches quotidiennes, d’animation,

27 de motifs dans mon travail d’écrivain et dans mon action d’homme, de citoyen. Je rappellerai d’abord la nature du défi que ma

28 our la littérature » ? J’ose dire que non. De mon action européenne, j’ai tiré huit volumes, c’est près d’un quart de ce que j

29 ont de nature à réveiller un peu d’espoir : notre action de fédéralistes, de régionalistes, d’écologistes européens, marque ch

30 ntent si j’ai pu contribuer par mes écrits et mon action à une prise de conscience dont dépend notre avenir : car il sera ce q

31 i un groupe le choisit pour le représenter, par l’ action publique. Platon et Aristote en ont beaucoup parlé. Aristote surtout