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e la fédération, on le devait par-dessus tout à l’
action
de l’ermite du Ranft. (Remarquons à ce propos que la seule chose que
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tre part, il est indéniable que ses propos et son
action
relèvent directement de cette espèce de réaction intérieure au formal
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e pour quelque chose d’un peu moins sérieux que l’
action
, ou que la guerre, par exemple, ou simplement que la défense national
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grand principe d’unité entre notre pensée et nos
actions
. Cette absence d’un principe d’unité est si totale qu’on ne la ressen
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mélangeons de moins en moins notre pensée à notre
action
. L’impuissance de la pensée sur la conduite générale des affaires, te
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pensée n’ont rien à dire d’utile aux hommes de l’
action
, aux capitaines de l’industrie ou de la guerre. Le divorce a été pron
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. Le divorce a été prononcé entre la culture et l’
action
, entre le cerveau et la main. Les résultats de ce divorce sont infini
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raît aujourd’hui comme une activité de luxe, et l’
action
seule est tenue pour sérieuse. En voici la preuve. Quand la situation
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bdique sa liberté et se soumette aux besoins de l’
action
, du haut en bas de l’échelle de nos occupations. Tout le monde trouve
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ensée n’ont plus aucun rapport avec les lois de l’
action
, une société qui manque à ce point d’harmonie, et où ce manque n’est
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s machines a brusquement accru nos possibilités d’
action
sur la matière. L’industrie et le commerce ont provoqué la brusque cr
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a pensée, en présence de cet essor fulgurant de l’
action
? Et que va faire la culture ? Il semble que la société devienne trop
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es hommes de la pensée que d’avertir les hommes d’
action
. Ils avaient là une chance et un devoir vital. Or, ils ont perdu cett
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de la pensée réside dans son détachement de toute
action
, dans son désintéressement scientifique. Ils n’ont pas dit : nous ne
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ée impuissante. Quand la culture ne domine plus l’
action
, c’est l’action qui domine la culture, mais une action qui ne sait pl
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Quand la culture ne domine plus l’action, c’est l’
action
qui domine la culture, mais une action qui ne sait plus où elle va !
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n, c’est l’action qui domine la culture, mais une
action
qui ne sait plus où elle va ! Et la société à son tour ne tarde pas à
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as à se défaire. Dès que la pensée se sépare de l’
action
, les hommes se trouvent séparés les uns des autres. Chacun, dans sa s
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e, la théologie. Dans toutes ces civilisations, l’
action
obéissait spontanément aux mêmes lois que la pensée. Mais aujourd’hui
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rapprendre à penser, à penser dans le train de l’
action
, oui, à penser avec les mains. Il nous faut voir que tout dépend en p
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et tournent au malheur. Car le mal qui est dans l’
action
n’a pas d’autres racines que le mal qui est dans la pensée. Et voici
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ois fatales que là où l’esprit démissionne. Toute
action
créatrice de l’homme normal inflige un démenti aux lois et fait menti
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Mais quelles seront alors les directives de cette
action
redevenue possible ? Je ne voudrais pas, ici, partir dans l’utopie. J
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mmes de Thomas d’Aquin, fixait à la pensée et à l’
action
des règles véritablement communes, ordonnées à une même foi, à un mêm
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ises ont paru, elles aussi, se détourner de toute
action
régulatrice sur la cité. Elles ont assisté sans mot dire à l’essor du
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rection dans tous les ordres de la pensée et de l’
action
. J’ai insisté sur le rôle des Églises parce qu’elles sont le type mêm
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is que s’il vaut quelque chose, ce sera grâce à l’
action
personnelle des hommes qui auront su répudier les illusions flatteuse
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prêcher ou d’écouter, afin de rendre possible une
action
missionnaire dans toutes les couches de notre peuple. Poser enfin trè
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les pays. Recettes, régimes, remèdes, relaxation,
action
sur l’équilibre hormonal, conditionnement des réflexes devant la mach
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u’aucune méthode ou aucun précepte reçu. 3. Toute
action
efficace commence donc par la fin. Avant toute chose, il faut considé
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amentale, de valeur universelle et instigatrice d’
action
, certes ; c’est l’inspiration morale au degré suprême ; mais ce n’est
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ni une méthode pour bien conduire la pensée et l’
action
dans la cité. De là l’obligation de recourir à d’autres sources, — pr
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, l’appel et la puissance de l’amour. À travers l’
action
dans la communauté, c’est-à-dire à travers le prochain, l’amour au se
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uire à un pur sentiment ou désir, alors qu’il est
action
. Mais dans le monde de la vocation, mon péché particulier, c’est ce q
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ion même qui le distingue de la communauté, d’une
action
qui le relie à cette communauté et qui l’insère dans ses réalités con