1 nous sommes nécessiteux — que son œuvre entre en action parmi les forces spirituelles qui orientent l’Europe d’aujourd’hui. L

2 (Dans quelle direction principale.) Où tend notre action centuplée par les machines ? Où tendent nos métaphysiques et nos phil

3 t ; même si la passion l’occupe un temps, c’est l’ action , la Tätigkeit — le grand mot goethéen — qui triomphera désormais. Mai

4 mot goethéen — qui triomphera désormais. Mais une action qui par avance désespère du seul succès qui pour Faust serait réel :

5 ent de la magie aboutissant au renoncement et à l’ action . Le second Rimbaud est vraiment le même que le premier, dans une phas

6 rnière de la magie : son reniement au profit de l’ action . Insistons sur ce terme de profit, qu’on ne saurait ici taxer de vulg

7 s porte en des régions nouvelles de l’esprit où l’ action redevient notre seul critère de cohérence. C’est dire que nous demand

8 ment penser — si « penser » est inséparable d’une action — entre une bourgeoisie déchue et un marxisme faux ? Il reste à faire

9 nc sur le leur. Ils opposent à nos « rêveries » l’ action . Qu’appellent-ils l’action ? Est-ce un opportunisme purement tactique

10 t à nos « rêveries » l’action. Qu’appellent-ils l’ action  ? Est-ce un opportunisme purement tactique, d’allure électorale ? « T

11 n où il ne tarde pas à se distinguer par diverses actions d’éclat. Il devient brigadier de choc. Grave et rieur, chaste, ignora

12 a d’être une simple description : elle va devenir action transformatrice, et productrice. L’esprit pur s’évanouit. L’âge qui s

13 us en plus nettement que les prolégomènes à toute action réelle résident dans la restauration d’un langage efficace. C’est dir

14 allemandes, scission aboutissant par une série d’ actions et de réactions dialectiques « au romantisme, au révolutionnarisme et

15 pratiques » ; celles qui passionnent les hommes d’ action et qu’ils estiment purement techniques parce qu’ils en ignorent les f

16 (Encore qu’il s’en défende avec vigueur mais son action même témoigne contre l’humilité de son retrait.) La question qui se p

17 s aux dérivés les plus exsangues, c’est rénover l’ action cosmique de la parole. Comment cela ? « Le mot appelle, provoque en n

18 t « le sceau de l’authenticité ». Il est, par son action recréatrice, une étymologie vivante de tout ce qui est. Et maintenant

19 e. Il attend des révélations. C’est évident ! Ses actions les plus pures sont des appels et des incantations : leur sens est to

20 de Goethe, dont ce n’est pas telle œuvre ou telle action que j’aime, mais bien le paysage vital, avec ses temps voilés et ses

21 dans ce qu’on fait, ou dans ce qu’on pense de ses actions . (Voir là-dessus la note dramatique datée du 5 janvier 1902.) ⁂ Mais

22 tre du dogme l’esprit qui inspire et qualifie nos actions quotidiennes, fussent-elles non conformistes. Mais toute morale a bie

23 hètes ont cru que Iahvé intervenait par de libres actions dans l’existence terrestre du peuple élu : dès lors, celle-ci ne dépe

24 ntermède médiéval, l’état civil des hommes et des actions humaines n’a cessé de se préciser, tandis que la Fin et le Commenceme

25 irement déduites d’ensembles étendus, négligent l’ action de la personne et nous inclinent à douter de sa réalité. Le « réel hi

26 résence d’une doctrine politique ou sociale, de l’ action d’un pays ou de l’option d’un homme, il n’est donc plus question de d

27 même mouvement désespéré toute justification de l’ action personnelle. Rien d’étonnant si l’homme, dès qu’il croit cette Histoi

28 e, a pour effet normal d’éliminer la croyance à l’ action personnelle. La personne est agent de liberté. Cette Histoire nous co

29 atalement les attachements à l’illusoire ; d’où l’ action , le devenir, la mort, et la roue des retours sans fin. « Inconnaissab

30 non seulement de l’homme mais du monde, c’est son action qui configure l’idée du moi que nous nous faisons, et cette idée du m

31 tique de l’amour, ou comme autant d’effets de son action configurante et composante. Et nous les voyons différer d’une manière

32 l’amour de soi-même, l’homme naturel s’ouvre à l’ action du vrai moi spirituel et se laisse transformer, réorienter par lui. C

33 e la Bhagavad-Gita : Sois détaché et accomplis l’ action qui est ton devoir, car en accomplissant l’action sans attachement, l

34 action qui est ton devoir, car en accomplissant l’ action sans attachement, l’homme obtient le but suprême. (III, 19) Notre pro

35 te invécue, comme les Vedas non récités, ou toute action non accomplie. (Brihad-âranyaka Up.) La notion de l’amour du prochain

36 us choisirons, en vérité vécue de conscience et d’ action . Les résultats actuels et historiques sont ambigus à l’infini, pour n

37 bres se lève, prononce un discours, préconise une action  ; ses collègues l’approuvent et il est décidé qu’il sera fait suivant