1
t ; même si la passion l’occupe un temps, c’est l’
action
— le grand mot goethéen — qui triomphera désormais. Mais une action q
2
mot goethéen — qui triomphera désormais. Mais une
action
qui, par avance, désespère du seul succès réel pour Faust : la posses
3
ent de la magie aboutissant au renoncement et à l’
action
. Le second Rimbaud est vraiment le même que le premier, dans une phas
4
rnière de la magie : son reniement au profit de l’
action
. Insistons sur ce terme de profit : il concerne ici, pour une fois le
5
s porte en des régions nouvelles de l’esprit où l’
action
redevient notre seul critère de cohérence. C’est dire que nous demand
6
de dire que le remède que Goethe s’applique est l’
action
. Nous sommes obligés, si nous voulons éviter tout malentendu, de reco
7
ent chez lui, et de plus en plus, des préceptes d’
action
d’aspect purement pratique, je dirai même fastidieusement pratique, s
8
que de celles-là qui nous poussent à réaliser en
action
notre loi personnelle. Sagesse, pourrait-on dire, médiatrice. Sagesse
9
des lois du monde ; la magie est la science de l’
action
sur les choses. 17. Sur tous les sommets réside la paix. 18. « Les
10
n’a jamais cru que sa mort pourrait entraver son
action
, il a compris qu’elle faisait partie de son action, oui, que cette ac
11
ction, il a compris qu’elle faisait partie de son
action
, oui, que cette action ne commencerait vraiment qu’avec sa mort !20 »
12
elle faisait partie de son action, oui, que cette
action
ne commencerait vraiment qu’avec sa mort !20 » On trouve le second do
13
adie pour mortelle. Sa mort serait nécessaire à l’
action
à laquelle il a consacré toutes ses forces spirituelles et toute son
14
nt qu’il puisse les retrouver sans peine dans les
actions
les plus modestes, comme manger, s’habiller, s’endormir — car pour l’
15
e de l’éternité qui vient à nous. 2.Il n’est d’
action
que prophétique Qu’est-ce que prophétiser, sinon dire la Parole qu
16
ins reçoivent l’ordre de parler, et c’est là leur
action
, leur prophétie et leur salut. Cependant que les hommes les frappent
17
Tout simplement : prend n’importe quelle règle d’
action
chrétienne, — ose la mettre en pratique. L’action que tu introduiras
18
action chrétienne, — ose la mettre en pratique. L’
action
que tu introduiras ainsi dans la réalité portera la marque de l’absol
19
re même de sa pensée, ou pour mieux dire : de son
action
. Ce centre est « la catégorie du solitaire ». Bien des malentendus se
20
ude de l’homme qui ne veut plus être sujet de son
action
, qui l’abandonne aux lois de l’Évolution. Kierkegaard au contraire no
21
oyant seul agit et seul il peut être sujet de son
action
, mais c’est qu’il est, dans l’autre sens du terme, assujetti à la Par
22
résumer les principales péripéties de cette vaste
action
judiciaire ? Je dis bien : résumer, car mille détails concrets échapp
23
ermine les données du Château, et qui empêche son
action
d’aboutir. « K », cette fois-ci, est arpenteur. On l’a convoqué au ch
24
oi nous agissons, malgré l’« absurdité » de notre
action
, ou ses apparences raisonnables. Le témoignage de bouche, dont parle
25
s recueillies par des biographes amateurs, et à l’
action
de la polémique catholique (Denifle, Maritain, Grisar), mettent le pu
26
Esprit et la Bible, et constituant la véritable «
action
» de l’homme « entre les mains de Dieu. » Tels sont les thèmes qu’ill
27
onnaît la fin, la somme, la valeur absolue de nos
actions
passées, présentes et futures ; car elles sont dans le temps, Dieu da
28
eu qui prétend voir plus loin que le terme de mes
actions
, — ce qui, avouons-le, les ridiculise complètement et les rend vaines
29
de Goethe, dont ce n’est pas telle œuvre ou telle
action
que j’aime, mais bien le paysage vital, avec ses temps voilés et ses
30
dans ce qu’on fait, ou dans ce qu’on pense de ses
actions
. ⁂ Mais voici qu’à mon tour je succombe au désir de marquer les seule
31
tre du dogme l’esprit qui inspire et qualifie nos
actions
quotidiennes, fussent-elles non conformistes. Mais toute morale a bie
32
une série de choix vitaux où s’exprime l’être en
action
, c’est-à-dire sa tendance dominante, le style de son existence. C’est
33
ar une introspection microscopique n’est pas sans
action
sur la vie ; elle introduit dans les combinaisons à étudier un quantu
34
en croire ses yeux…) Il n’est d’esprit que dans l’
action
qui saisit une forme pour la transformer. L’esprit n’a pas son siège
35
ymologique est toujours lié à une chose (ou à une
action
sur les choses). Utiliser les mots dans leur sens étymologique, c’est
36
de plier l’attention aux phases d’un geste, d’une
action
ou d’une pensée. ⁂ Il reste la fameuse psychologie des personnages. Q
37
une analyse qui suppose le divorce entre idées et
actions
, croyances et intérêts, instincts et conduite sociale. D’où naît une
38
dans quelle direction principale ?) Où tend notre
action
centuplée par les machines ? Où tendent nos métaphysiques et nos phil
39
conduite… C’est alors que le psychologue entre en
action
. 73. C’est le ton de la musique de Stravinsky, du Sacre et des Noces
40
s aux dérivés les plus exsangues, c’est rénover l’
action
cosmique de la parole. Comment cela ? « Le mot appelle, provoque en n
41
t le « sceau de l’authenticité ». Il est, par son
action
recréatrice, une étymologie vivante de tout ce qui est. Et maintenant
42
er que les révélations qui la portaient à quelque
action
pratique dans la vie quotidienne. Ainsi « l’ascèse personnaliste » se
43
ce pseudo-mysticisme romantique détermina toute l’
action
du Führer et son pouvoir hypnotique sur les masses. Les apparences de