1 onduit donc à l’État totalitaire, dans le système actuel de l’État-nation centralisé, déstructuré ; donc à la perte de nos lib

2 jourd’hui correspondre à la problématique la plus actuelle  : Il semble probable — et une « théorie » ultérieure devra tenir com

3 onnées accessibles à tous, à l’inverse du système actuel des secrets d’État, qui met la science au service des gouvernements e

4 tre, puisqu’au-delà des trois-quarts de la France actuelle elle couvre une moitié de la Belgique, un quart de la Suisse, plusieu

5 isent l’Europe ont en moyenne, quant à leur tracé actuel , un peu moins de cent ans d’âge, tandis que le rythme de variation de

6 1400 habitants au km2 (densité des grandes villes actuelles , étendue à toutes les terres émergées), 3 habitants au m2 en 2570, tr

7 ondée sur des régions, plus petites que nos États actuels , et la plupart du temps chevauchant leurs frontières. Voilà pour le c

8 ent ; mais on ne peut pas renverser notre système actuel , parce qu’il n’a pas de principe de cohérence interne. Il ne s’agit p

9 de l’extérieur. Les vingt-deux régions françaises actuelles ont toutes été faites à Paris, elles ont été préfabriquées dans les b

10 de des besoins d’une population, de la conscience actuelle ou virtuelle qu’elle a d’une région. Des possibilités de solutions qu

11 Ce qu’il y a de plus grave dans les États-nations actuels , c’est surtout qu’ils laissent le citoyen dans un vide civique, dans

12 nt pas discutés ni discutables, mais que la crise actuelle nous oblige à reconsidérer : et tout d’abord le travail comme valeur

13 Les problèmes concrets qui se posent à la Suisse actuelle dans les domaines les plus divers, tels que ceux de l’énergie, de la

14 la coopération fédéraliste à leur seul territoire actuel . Autrement dit, et pour paraphraser l’un des slogans célèbres de la r

15 is de, « Suisse 1975 », Encyclopédie de la Suisse actuelle , Lausanne, Éditions Mondo, 1975, p. 806-808.

16 présenter les cantons, il en faudrait 25, comme l’ actuelle commission du Marché commun, à Bruxelles, compte autant de commissair

17 it semblable à n’importe lequel des États-nations actuels , dont l’idéal est le nivellement universel, parce qu’il est plus faci

18 t par leurs petites dimensions. Or, dans le monde actuel , plus vous êtes petit et plus vous avez de chances de survivre au toh

19 ésie apparaît subitement dans le sud de la France actuelle (Poitou, Limousin, puis Languedoc) et va se répandre sur tout le cont

20 ous avons atteint. L’ennui sécrété par les formes actuelles de la civilisation amènera nécessairement une rébellion de l’esprit,

21 de ses décisions. Mais d’où tient-il sa puissance actuelle , sinon du vide civique créé par l’urbanisation sauvage de l’ère indus

22 onstate, en historien, qu’à l’origine de nos maux actuels , il y a le gigantisme, la superstition des grandes dimensions. Or, no

23 . La dissolution de la communauté dans la société actuelle a fait perdre à l’homme le sentiment de responsabilité et donc sa lib

24 ond, depuis L’Amour et l’Occident jusqu’à votre actuel militantisme d’écologiste, vous n’auriez fait que l’apologie de la me

25 de l’État-nation dans ses dimensions européennes actuelles me paraît terminé ; ce n’est pas une idée que j’ai aujourd’hui. Je l’

26 quelque autre grande ville du monde. La situation actuelle facilite l’escalade de la violence et du chantage. On justifie ces ve

27 ne d’années avec l’analyse des problèmes les plus actuels . Il faut souligner cette fidélité méditante et féconde à des concepti

28 t adaptée aux changements exigés par la situation actuelle de l’environnement ? La France est un pays centralisateur où l’on a l

29 e 5 millions d’habitants. 3. Crise et réaction actuelles Mais déjà, cent-cinquante ou cent ou quatre-vingts ans après la na

30 arviendra qu’à accroître, à aggraver la situation actuelle . On ne résorbera ni le chômage ni l’inflation. C’est saint Thomas qui