1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
1 ît prendre son élan dans la constatation d’un mal actuel , mais ce mal n’a pu être révélé que par la connaissance d’un bien nou
2 considérables dans l’histoire —, de sa décadence actuelle , — enfin des grands essais de restauration que le premier tiers de ce
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
3 t qu’aux yeux de qui sait voir les aboutissements actuels dans une perspective ouverte ; celle des décisions qui engagent les d
4 est elle seule qui donne aux faits passés une vie actuelle , un pouvoir et un sens. Toute connaissance des origines est incluse d
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
5 e culture unifiée par la force, et dont la mesure actuelle est une tactique au service de la force commune, et non pas de la vér
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
6 e que la fixèrent les classiques, comme la mesure actuelle au xiiie siècle. Le titre même de son traité nous met en garde contr
7 Les « simplicissima signa » ne sont ainsi mesure actuelle que s’ils participent réellement à la vie de la culture, en leur qual
5 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
8 sens parfois contradictoires, créés par la crise actuelle et très mal distingués les uns des autres par la plupart de ceux qui
9 tion, on aperçoit la raison immédiate de la crise actuelle du langage. La presse, la radio, l’éloquence politique et les ouvrage
6 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
10 ’il y a de plus vivant dans la réalité soviétique actuelle . Comment, alors, ne pas être frappé par leur exacte coïncidence avec
11 e l’homme ? Le rappel permanent, et la conscience actuelle de ce but final, suffisent-ils à animer toutes les facultés humaines
7 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
12 le futur automatisme du régime. « Nos expériences actuelles nous montrent que seule la victoire d’une conception du monde unifiée
8 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
13 st encore là une évidence, et qui n’est pas moins actuelle . 51. Nous voulons passer, dit Rosenberg, « de la confession et de l
9 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
14 « fondement final » de toute communauté réelle et actuelle , ce télos qui anime tout, qui exige tout, et qui impose à tout la mes
15 le fondement final de toute communauté réelle et actuelle  ? je suis donc amené à répondre premièrement : c’est par un acte de f
16 u’il prend sa source dans les désirs de nos cœurs actuels . Or, ce n’est pas une image flatteuse conçue comme un négatif du déso
17 que nous, tels que nous sommes, dans le désordre actuel . Par acte de foi, j’entends précisément l’acte qui obéit non pas à un
18 de notre examen de quelques mesures anciennes ou actuelles , la conclusion précise en vue de quoi nous sommes partis. 52. Poli
10 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
19 viables. Mais c’est qu’elles en jugeaient l’usage actuel néfaste, lorsqu’il était encore réel. Elles s’honorent de n’avoir plu
20 on y sacrifie ses aises immédiates ? Difficultés actuelles , optimisme imposé, ces deux traits définissent l’atmosphère des natio
11 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
21 cherche pas non plus à servir un régime politique actuel , ou une classe, ou un groupe d’intérêts : je veux être vrai. Je ne pu
22 la vérité. Je ne perds pas de vue nos conditions actuelles , le temps et les lieux où j’écris ; mais je les juge dans la perspect
12 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
23 des fins humaines du crédit, et de la jouissance actuelle des biens terrestres. Une seule chose intéresse le théologien moderni
24 re suspecte toute conclusion hardie ou simplement actuelle . (La virtuosité des philosophes français est la plus remarquable dans
25 le une croyance survivante en la valeur des modes actuels de la propriété peut obscurcir, aux yeux de mes contemporains, les li
13 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
26 ne tâche révolutionnaire qui s’impose à la France actuelle  : non pas seulement pour le salut de l’Occident, ou comme disent les
27 pensée et l’action, il appartient à une éthique «  actuelle  » de critiquer les mauvaises raisons par lesquelles la critique libér
28 ous sépare sans cesse de l’immédiat, de l’instant actuel , du risque vrai. Notre durée agit comme Une force centrifuge : nous r
29 utionnaire. Elle appartient plutôt, sous sa forme actuelle , au monde bourgeois, comme toute réaction à ce qui la provoque…) Ce q
30 oétiques, restituant le langage dans sa nouveauté actuelle , par la vertu d’un parti pris un peu plus passionné que savant. L’ima
31 la tradition même de l’Occident, par le spectacle actuel de ses déviations, enfin par le sens même de l’inquiétude métaphysiqu
32 soi comme des systèmes, indépendamment du rapport actuel d’un je et d’un tu, ne rendent pas compte de l’être personnel. Penser
33 on, tout se renverse ! Car la cause permanente et actuelle de toute répétition du péché primitif, nous pouvons la nommer, la déc
34 thème le plus frappant de la philosophie sociale actuelle . Pour me borner au domaine français, je citerai : Renouvier, Maritain