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ine de mort. Et voici la péroraison : Ô France,
adieu
! tu es trop grande pour n’être qu’une patrie. On se sépare de sa mèr
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ble de ta frontière. Résigne-toi à ton immensité.
Adieu
Peuple ! Salut Homme ! Subis ton élargissement fatal et sublime, ô ma