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multitude de groupes et d’organismes politiques,
administratifs
, culturels, linguistiques, religieux, qui n’ont pas les mêmes frontiè
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et simplifier, élargissant ainsi ses compétences
administratives
— mais libérant du même coup les énergies individuelles ou locales po
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nt dévalorisées — réduites à d’invisibles limites
administratives
et d’état civil, comme c’est le cas entre les cantons suisses depuis
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ui amènerait à les redécouper en circonscriptions
administratives
moins inégales par l’étendue. Cette solution unitaire, jacobine ou na
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en de bureaux où se concentrent tous les pouvoirs
administratifs
, civils et militaires, fiscaux et policiers, mais aussi ecclésiastiqu
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areil, ou de l’autonomie de décision d’un échelon
administratif
. Préférons, dans le monde régional, cette liberté modeste mais bien r
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doute plus de chances de favoriser l’inquisition
administrative
que d’accroître les libertés civiques. Elle ne serait à aucun titre u
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tion d’une mystique — la nation — par un appareil
administratif
et policier — l’État. Un État plus ou moins nationalisé ou une nation
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Sieyès sous prétexte de simplifier les contrôles
administratifs
, Mirabeau répondait déjà par cette grande phrase : « Le but de la soc