1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 honorifique, par courtoisie ou par simple routine administrative survivant aux conditions de fait, comme il arrive, car vous serez Amé
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
2 oléonien, et qui n’ont guère d’autre existence qu’ administrative dans les faits, et scolaire dans les esprits. Les États-nations en ta
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
3 tion d’une mystique — la Nation — par un appareil administratif et policier — l’État. Un État plus ou moins nationalisé ou une nation
4 Sieyès, sous prétexte de simplifier les contrôles administratifs , Mirabeau répondait déjà par cette grande phrase : « Le but de la soc
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
5 une patrie. L’État est un agencement d’activités administratives et politiques, une construction artificielle par définition, rarement
6 aliste moyen de revendiquer l’annexion à son État administratif , au nom de son propre sentiment patriotique, de peuples qui ont l’hon
5 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
7 fièvre sa mutation en une fédération d’autonomies administratives , parlementaires, exécutives et budgétaires, composée de l’Écosse, du
8 bérée de la tyrannie des frontières politiques et administratives imposées aux réalités ethniques et économiques, les régions vont très
9 areil, ou de l’autonomie de décision d’un échelon administratif . Préférons, dans le monde régional, cette liberté modeste mais réelle
10 doute plus de chances de favoriser l’inquisition administrative que d’accroître les libertés civiques. Elle ne serait à aucun titre u