1 rement. L’Empire romain représentait une certaine administration . On sait également ce que sont la Renaissance individualiste, l’absol

2 omme des communes politiques, qui ont leur propre administration , assurent leur propre police, et qui ne relèvent pas du prince ou de

3 e ou de la création, l’autre dans le domaine de l’ administration , qu’il ne peut pas prendre à cause de cette explosion du savoir et de

4 ction de la possibilité humaine de participer à l’ administration des choses publiques, c’est la destruction des communes, et c’est la

5 e autorité locale ou nationale au mieux, puis une administration . Donc, au lieu d’unité interne, une sorte d’uniformité extérieure. À

6 (baptêmes, mariages), taxes et impôts, banque. L’ administration est donc exercée par l’Église. L’empire n’a pas d’État à sa dispositi

7 ns un même cadre, un territoire, une culture, une administration , des citoyens, des soldats et des esprits. 15 novembre 1968 La Révolu

8 ’ensemble du pays, de la nation. Ce n’est plus l’ administration d’un domaine privé du roi, cela devient l’administration du domaine p

9 tration d’un domaine privé du roi, cela devient l’ administration du domaine public du peuple, c’est-à-dire de la nation idéologique. L

10 totalitaire, qu’il veuille non seulement régir l’ administration et percevoir les impôts, mais qu’il exige l’adhésion sentimentale et

11 ls on veut faire tenir la langue, l’état civil, l’ administration , la fiscalité, l’économie, le sous-sol. 30 mai 1969 1919 a vu la dési

12 15 novembre 1968 En centralisant et en unifiant l’ administration , la Révolution française achèvera d’un seul coup le grand effort entr

13 ns, qui ensuite est transférée à n’importe quelle administration d’État, c’est-à-dire l’ensemble des structures et des mécanismes, qui

14 , au lieu de la grandeur du prince, le fait que l’ administration ou l’État est au service des citoyens au lieu que ceux-ci soient au s