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ier carnaval de cette bourgeoisie dont je viens d’
admirer
les trésors patinés dans la haute demeure familiale des Goethe ». L’a
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sur autrui mais sur soi-même. La réforme que vous
admirez
le plus ? La christianisation jamais achevée des Églises chrétiennes,
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e des hommes politiques, mais je ne les ai jamais
admirés
ou vénérés de la même manière que des écrivains. Un de ceux qui m’a l