1
ion au réel durement consentie, voilà ce que nous
admirons
dans le Chant funèbre. Ce mot de grandeur revient souvent lorsqu’on p
2
acle des athlètes. Et c’est elle avant tout que j’
admire
dans ces Bestiaires, presque malgré leur sujet trop pittoresque. « Ho
3
le rendrait digne à mes yeux, de considération. J’
admire
autant le talent de celui qui mène 60 parties d’échecs simultanément,
4
la guerre, puisque enfin cet état d’esprit que j’
admire
est, entre autres, belliqueux. Or je suis pacifiste. Comment ne pas l
5
vons qu’au prix de tout ce qu’à Debrecen je viens
admirer
. On aime les Hongrois comme on aime l’enfance : or le rêve de l’enfan
6
de la qualité, qui est ce qu’avant tout l’on doit
admirer
chez M. Du Bos. Et dans l’allure des phrases, le rythme même de sa pe