1 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
1 raît platement certaine. Pourtant, comment ne pas admirer la merveilleuse convergence d’une notion trop désintéressée de l’espr
2 on sans un hochement de tête sur la plèbe qui les admire . Et comment cette pauvre plèbe n’aurait-elle pas d’admiration pour la
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
3 oire aux sornettes des popes. En somme, ce qu’ils admirent dans la Russie nouvelle, c’est une santé énorme, une joie au travail
4 ue nos astuces, mais il n’est pas non plus de les admirer  ; il n’est pas de dire non à tout, ni oui à tout ; c’est un devoir de
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
5 ur le Dieu-homme. Mais ceci dit, et maintenu, — j’ admire qu’un incroyant ait su donner à notre position personnaliste sa plus
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
6 vaient cela ! 65. Certes, Gide ne se prive pas d’ admirer bien des choses en URSS (les « parcs d’enfants » surtout) ; mais la p
7 cuses qu’il propose au stalinisme, ou ce qu’il en admire , ce sont excuses et admirations que nous proposent identiquement les
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
8 pand en confidences exagérées ; il s’excite, il s’ admire dans sa révolte ou son malheur. Mais celui qu’on peut voir, celui qui
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
9 e. Quoi de plus comique et de plus irritant que d’ admirer les fascismes étrangers alors qu’ils sont les formes politiques les p
7 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
10 nous baptisions la Fleurette. Nous n’avons jamais admiré Mussolini, comme l’ont fait les bourgeois d’Europe : ce n’était pas u