1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 ou telle fraction de son intelligentsia décide d’ adopter nos conceptions sécularistes de l’existence, désacralisée, rationalis
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
2 il se verrait obligé de quitter le comité si l’on adoptait ma proposition. Je compris par la suite que ce haut fonctionnaire ten
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
3 uveraineté nationale. Le fédéraliste ne peut donc adopter , devant la croyance à la souveraineté nationale absolue, qu’une attit
4 ec les fins de l’Europe et de la liberté. Il faut adopter sans délai les méthodes les plus propres à réduire l’obstruction des
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
5 ion qui les protège. C’est ce second parti qu’ont adopté en 1848 les vingt-cinq petits États suisses, et bien leur en a pris.
6 gton 1° Les pouvoirs politiques peuvent très bien adopter la structure proudhonienne, sans que soit pour autant décidée la stru