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lentendus perpétuellement renaissants, et que les
adversaires
de la religion eurent beau jeu d’exploiter, on le sait. Mais, comme l
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és, le rôle d’incroyants, de sceptiques ou même d’
adversaires
. Mais il y a d’autres dieux pour cette espèce-là d’incroyants, et ce
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’agent « non historique ». Il faut croire que cet
adversaire
de Hegel était encore bien mal purgé de ses superstitions pseudo-scie
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le vrai tragique du débat. Mais le plus grand des
adversaires
du christianisme dans les temps modernes, Nietzsche, aboutit à un dil
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seul en mesure de préparer la réconciliation des
adversaires
actuels. Il ne se fonde pas sur un compromis entre des erreurs opposé