1 peut dire précisément de Kassner qu’il réfute ses adversaires — Freud en particulier, dans Christ et l’âme du monde — mais bien plu

2 che, à gauche comme à droite, de nommer les vrais adversaires . (Je ne vois que Chamson qui ait dénoncé l’équivoque dont vit la droi

3 6. Et l’on y lit que les fascistes sont les pires adversaires « de la personne humaine, cette grande force spirituelle ». Et aussi

4 ur. ⁂ Nietzsche s’est dressé face au siècle. Et l’ adversaire qu’il s’est choisi, c’est l’esprit de lourdeur, notre poids naturel,

5 puis exaspéré par le silence ou les lâchetés de l’ adversaire . Les idées se retournent au caprice de l’esprit : il n’y a plus de vé

6 autes d’humeur, et ce besoin de donner raison à l’ adversaire …54 On l’y retrouve naturaliste à la manière goethéenne, et musicien c

7 où nos cadets nous opposeront l’exemple du probe adversaire des orthodoxies orgueilleuses, « André Gide à n’en plus finir » ! 5

8 xpérience rigoureusement spirituelle. En somme, l’ adversaire principal des védantins comme des premiers bouddhistes, ce n’est pas