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ine en Russie, au début de 1917, à l’heure où ses
adversaires
socialistes triomphent apparemment, appuyés par les masses. Ce sont c
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le jour où le peuple français aura compris que l’
adversaire
unique est le capitalisme centralisateur, anonyme aujourd’hui — à dro
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fera au hasard, sous la pression de la peur d’un
adversaire
dont on surestime de part et d’autre les forces. Mais nous sommes pay
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hose. Ce n’est pas assez, ce n’est pas sérieux. L’
adversaire
n’est pas un vrai adversaire, comme à la guerre. Nous avons besoin de
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n’est pas sérieux. L’adversaire n’est pas un vrai
adversaire
, comme à la guerre. Nous avons besoin de sentir devant nous un advers
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uerre. Nous avons besoin de sentir devant nous un
adversaire
vraiment dangereux, il nous faut cela pour provoquer le déploiement d
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es d’être très généralement approuvé même par les
adversaires
du régime. (Les 3 plébiscites hitlériens.) Dans les deux cas, il s’ag
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que la paresse d’esprit ou la mauvaise foi de nos
adversaires
nous assimilent pour autant à un « fascisme » contre lequel toute la
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us ne sommes pas « favorables au fascisme », mais
adversaires
du fascisme, qu’il soit hitlérien (rural) ou stalinien (industrialist
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ement des guerres modernes et l’armement des deux
adversaires
simultanément. D’autres que nous ont dit le nécessaire sur ce point.