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git des choses de l’esprit — c’est de connaître l’
adversaire
afin de reconnaître et de tuer les plus secrètes complicités qu’il a
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l’État. Ces personnes-là, ce sont ses véritables
adversaires
, les seuls sérieux, et il le sait ! Si Niemöller est dans un camp de
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rotestant, les faits le prouvent, sera toujours l’
adversaire
le plus efficace de l’esprit totalitaire. Déjà, beaucoup d’entre nous
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vaste, la millénaire bataille de la culture. L’
adversaire
est en nous S’il y a bataille, c’est donc qu’il y a deux adversair
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s S’il y a bataille, c’est donc qu’il y a deux
adversaires
. Quels sont-ils ? Mais d’abord, essayons d’écarter un malentendu mena
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vous parler n’est pas une bataille politique. Les
adversaires
ne sont nullement les actuels belligérants, et il n’est pas question,
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maison. Toujours, la cause du mal, c’est-à-dire l’
adversaire
, est devant eux, à l’extérieur. Or, notre civilisation, sous l’influe
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mieux se blanchir soi-même. Mais en réalité, nos
adversaires
ne diffèrent pas essentiellement de nous. Tout homme porte en soi les
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vraie bataille dont j’entends vous parler. Or cet
adversaire
intérieur, je ne voudrais pas le définir théoriquement avant de l’avo
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e contre les préjugés du siècle : « Le plus grand
adversaire
de l’esprit, c’est la presse quotidienne. On ne peut plus prêcher le
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moins par tolérance réelle que par prudence. Les
adversaires
politiques ou religieux, chez nous, se fréquentent peu, ne se parlent
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uand une troupe est réduite à l’impuissance par l’
adversaire
, on ne dit pas qu’elle est neutre, on dit qu’elle est neutralisée. Ta