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ons ce fait fondamental : c’est qu’en réalité nos
adversaires
ne diffèrent pas essentiellement de nous. Car tout homme porte dans s
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fatigue, ou de quelque déséquilibre temporaire. L’
adversaire
est toujours en nous. Et c’est pourquoi je pense que le chrétien véri
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e consiste à semer la confusion dans le camp de l’
adversaire
en y répandant alternativement de vraies et de fausses nouvelles. Voi