1
nt morts, mais dans la lutte ils ont marqué leurs
adversaires
d’une empreinte qui vaut une victoire. C’était fatal. Imaginez deux h
2
icace. Très peu parmi les délégués se déclarèrent
adversaires
de nos thèses. Certains ne redoutaient à vrai dire qu’« un fédéralism
3
bat pour l’Europe prouve la vie de l’Europe : mes
adversaires
y sont donc mes amis, car le principe pour lequel je me bats est celu
4
’auront été mises en échec par un plus formidable
adversaire
. Entre ce grand péril et cette grande espérance la vocation de l’Euro