1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 s ? Et ne peut-on vraiment livrer bataille qu’à l’ adversaire qu’on porte en soi ? J’avoue que j’ai moi-même éprouvé du dépit à voi
2 Tristan paraît physiquement supérieur à tous ses adversaires et, particulièrement, au roi. Aucune force extérieure ne saurait donc
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
3 ’à nos jours émanent presque exclusivement de ses adversaires . Ensuite, il semble bien que la doctrine de Mani (qui était originair
4 sémite. Du moins sait-on par les pamphlets de ses adversaires que cette école proposait une théorie érotique des rêves. Or les poèm
5 et de la procréation, selon le catharisme ?) Les adversaires du vrai Amour sont les « homicides, traîtres, simoniaques, enchanteur
6 nchée par Rahn reste ouverte. J’ajouterai que les adversaires les plus virulents de cette hypothèse sont ceux qui n’ont pas vu le s
7 ette simplification tout à fait abusive, dont mes adversaires sont plus responsables que moi — en dépit de certaines imprudences d’
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
8 ente, et sur les chefs précis dont Otto le montre adversaire  : savoir l’union essentielle et l’abandon des œuvres. On est toujours
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
9 eur suprême réussite — ils parvenaient à battre l’ adversaire d’une manière vraiment radicale : ils détruisaient l’ensemble de ses
10 aolo Vitelli fit même crever les yeux d’un de ses adversaires parce que le misérable avait osé soutenir la légitimité de l’emploi d
11 . Lorsque après des manœuvres compliquées, un des adversaires a perdu ou gagné plusieurs pièces — villes ou places fortes — alors v
12 nées et non dans l’anéantissement des forces de l’ adversaire . Le monde militaire est toujours tombé dans ces erreurs quand il s’es
13 gloire d’un chevalier est faite du nombre de ses adversaires pourfendus et décapités, et si possible tranchés en deux de la tête a