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sive. Nietzsche s’est dressé face au siècle. Et l’
adversaire
qu’il s’est choisi, c’est l’esprit de lourdeur, notre poids naturel,
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puis exaspéré par le silence ou les lâchetés de l’
adversaire
. Les idées se retournent au caprice de l’esprit : il n’y a plus de vé
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vient de surprendre la vérité secrète de son pire
Adversaire
. Qui sait s’il ne va pas l’aimer ? ⁂ Dans la troisième partie d’Ainsi
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Aurore, je relis : « Que celui qui veut tuer son
adversaire
considère si ce ne serait pas là une façon de l’éterniser en soi-même
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C’est l’Âme, en somme, et une âme conçue comme «
adversaire
» de la chair. Mais la vertu de ce mot âme « s’épuise à force de le r
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peut dire précisément de Kassner qu’il réfute ses
adversaires
— Freud en particulier, dans Christ et l’Âme du monde — mais bien plu
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xpérience rigoureusement spirituelle. En somme, l’
adversaire
principal des védantins comme des premiers bouddhistes, ce n’est pas