1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Don Juan
1 sive. Nietzsche s’est dressé face au siècle. Et l’ adversaire qu’il s’est choisi, c’est l’esprit de lourdeur, notre poids naturel,
2 puis exaspéré par le silence ou les lâchetés de l’ adversaire . Les idées se retournent au caprice de l’esprit : il n’y a plus de vé
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
3 vient de surprendre la vérité secrète de son pire Adversaire . Qui sait s’il ne va pas l’aimer ? ⁂ Dans la troisième partie d’Ainsi
4 Aurore, je relis : « Que celui qui veut tuer son adversaire considère si ce ne serait pas là une façon de l’éterniser en soi-même
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
5 C’est l’Âme, en somme, et une âme conçue comme «  adversaire  » de la chair. Mais la vertu de ce mot âme « s’épuise à force de le r
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
6 peut dire précisément de Kassner qu’il réfute ses adversaires — Freud en particulier, dans Christ et l’Âme du monde — mais bien plu
5 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
7 xpérience rigoureusement spirituelle. En somme, l’ adversaire principal des védantins comme des premiers bouddhistes, ce n’est pas