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ro Schulze-Boysen, chef du groupe « Gegner » (les
Adversaires
), futur héros de la Résistance allemande, intransigeant et beau, et q
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en argent liquide, chez son beau-frère. Il était
adversaire
du prêt à intérêt, condamné par l’Église primitive. Il donnait à qui
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ons. Séduit par l’idée de me voir nommé à titre d’
adversaire
déclaré du régime, je relevai le défi d’Abetz, mais non sans avoir pr
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hose. Ce n’est pas assez, ce n’est pas sérieux. L’
adversaire
n’est pas un vrai adversaire, comme à la guerre. Nous avons besoin de
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n’est pas sérieux. L’adversaire n’est pas un vrai
adversaire
, comme à la guerre. Nous avons besoin de sentir devant nous un advers
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uerre. Nous avons besoin de sentir devant nous un
adversaire
vraiment dangereux, il nous faut cela pour provoquer le déploiement d
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Idéalisme et réalisme ont fait faillite. Le seul
adversaire
du régime demeure, en fait, l’Église chrétienne ; c’est-à-dire qu’à l
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le cheval de Troie. Car pour s’armer autant que l’
adversaire
, il faudrait imposer au pays une discipline équivalente à celle qui r
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c’est le « tabouer », c’est le considérer comme l’
adversaire
sacré. Le sacré, c’est ce qu’on ne discute pas. Mais le sacré est tou
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et l’inertie. Peut-être vont-ils découvrir que l’
adversaire
fanatisé les défie mieux que le sceptique et les ramène mieux à leur
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e du voisin. Il faut surtout répondre mieux que l’
adversaire
au problème qu’il tentait de résoudre, à ce problème du vide social,
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ion (involontaire bien entendu) de la pensée de l’
adversaire
, souvent, qui permet de gagner. Cela ne l’empêche pas, d’ailleurs, de