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r le Moyen Âge. La vraie foi est pour la magie un
adversaire
d’une autre taille que la raison. 11. Ici encore, c’est Diderot qu’i
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sure où elle provoque. Tournons sa pointe vers un
adversaire
qui va se désigner lui-même sans retard. Toute l’astuce d’une certain
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uffisance de ses vertus qu’il s’agit d’éclairer l’
adversaire
. Et c’est au succès même de ses efforts qu’il faut le prendre. Car il