1 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
1 ntérieur » suppose et permet celle du « robot » d’ affaires . L’autisme est un fléchissement de la personnalité. D’une manière gén
2 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
2 Problème de la politique actuelle : sera-t-elle l’ affaire du meilleur statisticien, ou au contraire de l’homme le plus humain ?
3 es ou à la Mairie, sont communistes et mènent les affaires du pays. Ils vont à toutes les conférences, prennent la parole au Cer
4 st pas par la lecture qu’ils viennent au parti. L’ affaire , pour eux, c’est d’abord de se grouper afin d’entreprendre quelque ch
3 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
5 lemihl. Aussi bien, le diable n’est-il pas dans l’ affaire , cette fois-ci. 39. Selon Paracelse toujours, l’élément sexuel se di
4 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
6 l’on nomme « difficultés de trésorerie » dans les affaires , devient ici, évidemment, un obstacle absolu.) Assuré au moins de que
5 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
7 ’homme intérieur » et rien que lui. C’était une «  affaire privée » ; et Marx n’a fait que le constater. Elle n’empêchait nullem
8 onstater. Elle n’empêchait nullement de faire des affaires . Ni d’opprimer les ouvriers. Ni d’appeler justice, au besoin, ce qui
9 té, en vertu de notre carence : la politique, nos affaires , nos intérêts dits matériels, et ceux des autres ! Exemple typique :
10 yens, connus de tous, ils approuvent le mensonge ( affaire Zinoviev), l’hypocrisie (entrée dans la SDN), l’oppression (déportati
6 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
11 x qui veulent sauver non point nos âmes — c’est l’ affaire de Dieu seul — mais bien la possibilité de vivre et de créer sa vérit
7 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
12 confia à l’un de ses frères, pour éviter d’avoir affaire aux banques, et lorsqu’il mourut, l’on s’aperçut qu’il n’en restait q