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s politiques ou religieux, négociateurs de grande
affaires
publiques, théologiens et pédagogues, savants du premier rang, mais q
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ces voisins et de leur souveraineté illimitée ? L’
affaire
de Suez a permis d’en juger. Deux grands États de l’Europe avaient te
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communautés dotées d’une autonomie reconnue. Les
affaires
de la compétence de l’Assemblée sont toutes celles qui relèvent expre
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ef de l’État européen. Il gère collégialement les
affaires
fédérales. Ses membres sont élus pour trois ans par l’Assemblée europ
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nt)9 préviennent toute ingérence particulière des
affaires
suisses dans les affaires fédérales européennes. La Suisse, qui n’inq
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érence particulière des affaires suisses dans les
affaires
fédérales européennes. La Suisse, qui n’inquiète personne, se trouve
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Essayons d’expliquer ce qui peut l’être, en cette
affaire
où le sens concret du bien public a beaucoup plus à voir que l’idéolo
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la Suisse allemande : elle relevait en effet des
affaires
« étrangères », plutôt mal vues à cause de l’adjectif. Notre demande
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re le Bien ! — Non Madame, faire le bien, c’est l’
affaire
du Bon Dieu. Et de lui seul ! Tout ce que l’on peut demander d’un hom
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t aussi de la Sacred Giraffe. Pour présider à une
affaire
qui mettait en jeu des composantes aussi désespérément hétérogènes qu
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du civisme, c’est-à-dire l’intervention dans les
affaires
qui regardent chacun : les affaires de la commune, de la région. Tand
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tion dans les affaires qui regardent chacun : les
affaires
de la commune, de la région. Tandis que si vous avez de petites unité
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pour nous. Mais non : « le temps ne fait rien à l’
affaire
», l’actualité pas davantage, et son absence n’ôte ou n’ajoute rien à
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ès un but habituel et quelconque, le succès d’une
affaire
, la richesse… On le manque, « par la faute des circonstances », dit-o