1 ont été amenés depuis cinq ou six ans par l’IOS, affaire américaine qui, chassée des États-Unis et de Suisse, s’est installée

2 ner aussi les deux choses. Je pense que c’est une affaire d’entraînement, de goût personnel, de possibilités différentes. Quel

3 cette idée que la femme n’a pas sa place dans les affaires publiques qui doivent être le domaine des guerrières, de l’homme armé

4 civique La participation réelle du citoyen aux affaires publiques en tant qu’acteur, non-spectateur, n’étant possible et prat

5 — à part nos bons nationalistes. Enfin, il y a l’ affaire des frontières naturelles, chères à nos maîtres. Cette notion a son o

6 ue l’on acquiert par des études. Elle n’est pas l’ affaire des « salons », comme l’imaginent encore quelques amateurs de clichés

7 atiques. Ainsi définie, la culture n’est plus une affaire de fiches, de bibliothèque ou d’œuvres, c’est-à-dire d’objets extérie

8 i la conduite de la cité devient en conséquence l’ affaire de spécialistes pratiquement anonymes, et que des élus transitoires s

9 La discussion publique était, en Grèce antique, l’ affaire de l’ensemble des citoyens (environ le dixième de la population) réun

10 ter aujourd’hui, le plus souvent, dans la vie des affaires et les échanges personnels ? Il est possible — et pour ma part j’y cr

11 que l’on trouve aujourd’hui en livre de poche. L’ affaire Lip est déjà prévue, définie, et à mon sens résolue, dans la pensée d

12 ltes et de la région de la Volga. Enfin, il y a l’ affaire des frontières naturelles, chères à nos maîtres. Cette notion a son o

13 fut auprès du Tribunal de la Seine au moment de l’ affaire Dreyfus. Son analyse permit d’innocenter le capitaine. Sur les trente

14 se à juste titre dans les pays où il est devenu l’ affaire des seuls partis, car ceux-ci ne correspondent plus à grand-chose auj