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i, qui interdit l’idée de faire de l’avenir notre
affaire
. Alors, cela c’est la situation politique la plus grave que la civili
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e en main notre destinée, voilà le mot de toute l’
affaire
, notre affaire. Les sociétés multinationales Nous allons aborde
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destinée, voilà le mot de toute l’affaire, notre
affaire
. Les sociétés multinationales Nous allons aborder maintenant un
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lculables d’ores et déjà. « L’avenir est notre
affaire
» Tous ces sujets seront-ils abordés dans votre prochain livre ? C
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train de terminer. Je dis : « l’avenir est notre
affaire
». Comme de toutes ces choses dont nous parlons, il faut faire compre
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comprendre aux jeunes aujourd’hui que c’est leur
affaire
. Ce n’est pas l’affaire de fatalités auxquelles on ne peut rien compr
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ujourd’hui que c’est leur affaire. Ce n’est pas l’
affaire
de fatalités auxquelles on ne peut rien comprendre, auxquelles seuls
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peuvent comprendre quelque chose. Ce n’est pas l’
affaire
des ordinateurs, ce n’est pas l’affaire des impératifs X et Y, c’est
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est pas l’affaire des ordinateurs, ce n’est pas l’
affaire
des impératifs X et Y, c’est leur affaire. Souvent les gens n’aiment
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t pas l’affaire des impératifs X et Y, c’est leur
affaire
. Souvent les gens n’aiment pas être responsables de leur sort, surtou
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ent dans son ouvrage intitulé L’Avenir est notre
affaire
. »
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upe ? Le surréalisme a toujours été, à Paris, une
affaire
de groupe, dont Breton était le « pape », mais au-dessus du pape, il
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tard. C’était entre nous, à New York, une simple
affaire
d’amitié, d’affinité élective. Plusieurs ravissantes jeunes femmes pr
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Car le Conseil ne tente rien de moins, dans cette
affaire
, que de fonder la politique européenne, et de la fonder, comme il se
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ntralisé où ils se voient perdus, n’est plus leur
affaire
, ne peut que les brimer, et les oblige à s’évader dans la drogue, dan
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s nous savions qu’une société et ses mesures sont
affaire
de personnes, donc de coopération et de propriété communautaire. ⁂ Et
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à Francfort, et ne me souffle mot de cette grande
affaire
. Mieux encore : dans le numéro d’octobre 1936 de L’Ordre nouveau, je
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mes hôtes que je dois rentrer à New York pour une
affaire
pressante. En vérité j’ignorais quelle affaire, mais je sentais qu’il
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ne affaire pressante. En vérité j’ignorais quelle
affaire
, mais je sentais qu’il fallait rentrer. Je monte l’escalier quatre à
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t, puisque j’ai vu ! C’est là tout l’intérêt de l’
affaire
: cette perception soudaine, ce regard par mégarde sur un petit fait
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onaux. Le jeu se rouvre, l’avenir redevient notre
affaire
. Ou bien la démission épidémique de la personne devant la mécanique
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les citoyens puissent enfin prendre en main leurs
affaires
communes — qu’il s’agisse de réalités culturelles ou énergétiques, éc
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s de civisme, pas de participation du citoyen aux
affaires
publiques, pas de communauté ! Et c’est la nostalgie d’une communauté
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par la participation responsable des citoyens aux
affaires
de leurs communautés autonomes. Je vais donc considérer quelques-uns
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uvé la formule de tout ce qui me répugnait dans l’
affaire
nucléaire comme dans celle de Concorde, en faisant de ces deux entrep
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uveraine, dans laquelle j’ai été élevé. Ce sera l’
affaire
de votre génération. Trois lustres ont passé déjà sans que rien nous
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x du siècle » que l’auteur de L’Avenir est notre
affaire
estime urgent de souligner aujourd’hui. » Suivi encore de cette prés
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entale . Il vient de terminer L’Avenir est notre
affaire
qui va sortir incessamment en librairie (Éditions Stock). Denis de R
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e titre résume bien l’esprit : L’Avenir est notre
affaire
. À tous les dangers qui nous menacent et que l’auteur dénonce lucidem
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itre de votre dernier livre — L’Avenir est notre
affaire
— sert déjà de slogan à un nouveau courant de pensée33. En fait, il
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autre et la volonté de puissance. Certes, ils ont
affaire
avec le sublime mais aussi, toujours, avec la mort. Si l’on prolongea
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re la violence ? Dès que l’on se prononce sur les
affaires
humaines, je pense qu’il vaut mieux être du côté du roi Marcbb, qui s
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Il fallut son dernier livre, L’Avenir est notre
affaire
, paru le mois dernier chez Stock, pour qu’on redécouvre celui qui fu
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Son gouvernement, alors, ne pourrait plus être l’
affaire
des citoyens réunis, dialoguant, discutant de leurs affaires, il devi
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s citoyens réunis, dialoguant, discutant de leurs
affaires
, il deviendrait la tâche de quelques spécialistes délégués qui s’impo
36
it par le chapeau suivant : « L’Avenir est notre
affaire
. Tel est le titre du livre que vient de publier Denis de Rougemont.
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L’Avenir est votre
affaire
(11 octobre 1977)bf J’ai rencontré Denis de Rougemont dans sa mais
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ure… Et s’il « faut » absolument que des hommes d’
affaires
pressés gagnent trois heures sur le trajet Paris-New York, Denis de R
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Un des aspects fascinants de L’Avenir est notre
affaire
est que Denis de Rougemont coordonne magistralement les thèses perso
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atre ans et demi pour achever L’Avenir est notre
affaire
. Je n’avais fait cela pour aucun de mes livres. J’ai écrit, par exem
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trouver meilleur ouvrage que L’Avenir est notre
affaire
pour nous en persuader. bf. « L’Avenir est votre affaire », 24 Heu
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our nous en persuader. bf. « L’Avenir est votre
affaire
», 24 Heures, Lausanne, n° 236, 11 octobre 1977, p. 58. Propos recuei
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voici qu’il nous propose avec L’Avenir est notre
affaire
(Éd. Stock) un livre d’une extraordinaire jeunesse, un ouvrage percu
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tions Stock a un beau titre : L’Avenir est notre
affaire
. Il va devenir la bible des écologistes, des régionalistes et de tou
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« L’avenir, c’est notre
affaire
! » (18 octobre 1977)bh L’avenir est notre affaire : une affirmati
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ire ! » (18 octobre 1977)bh L’avenir est notre
affaire
: une affirmation, un titre, un livre-programme. Denis de Rougemont y
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ancées. Il rappelle à chacun que l’avenir est son
affaire
, et non celle d’une vague fatalité. Il en appelle à la liberté et au
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de et rassurante. En écrivant L’Avenir est notre
affaire
, j’entendais faire le point de la situation. Je constate que cette s
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fier la situation. Justement : l’avenir est notre
affaire
. bh. « L’avenir, c’est notre affaire », Tribune de Genève, Genève,
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est notre affaire. bh. « L’avenir, c’est notre
affaire
», Tribune de Genève, Genève, n° 240, 18 octobre 1977, p. 37. Propos
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tableau d’honneur de Parents : L’Avenir est notre
affaire
(octobre 1977)ae Que nous agissions ou non, que nous le voulions o
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, que nous le voulions ou non, l’avenir est notre
affaire
. Nous en sommes seuls responsables. « Mieux vaut le savoir et cesser
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livre qui vient de paraître. L’Avenir est notre
affaire
. Un titre qui est la profession de foi mais aussi l’avertissement qu
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ient les moyens. Pour que l’avenir devienne notre
affaire
, l’État doit être dessaisi des pleins pouvoirs. Ce n’est qu’en décida
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. ae. « Denis de Rougemont, l’avenir est notre
affaire
», Parents, Paris, octobre 1977, p. 46 et 48. Propos recueillis par D
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l’éloignent. Quand il affirme L’Avenir est notre
affaire
, c’est que rien n’est encore perdu. Fondateur du Centre européen de
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cris dans la première page de L’Avenir est notre
affaire
: « À partir de maintenant, il arrivera dans le monde ce que les hom
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auve-qui-peut, puisqu’il dit « l’avenir est notre
affaire
». Nous sommes tous responsables de nos lendemains comme le Petit Pri
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, le livre de Denis Rougemont L’Avenir est notre
affaire
paru cet automne, est sorti au bon moment. En juin dernier, c’eût en
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le question décisive, dans la plupart des grandes
affaires
publiques — industrie, énergie, transports, recherche scientifique, e
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que les autres, tant bien que mal, expédient les
affaires
courantes, lui, parlant bas, devant un Conseil des ministres inattent
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t non moins certain qu’en faisant du projet « son
affaire
» et en engageant sur lui le sort de sa propre politique européenne,
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ment possible de ce drame. Interrogeons sur cette
affaire
l’autre protagoniste principal, Jean Monnet lui-même : L’action de R
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uveraine, dans laquelle j’ai été élevé. Ce sera l’
affaire
de votre génération… y. « Robert Schuman (1886-1963) : l’homme de