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ire lorsque vous écrivez dans L’Avenir est notre
affaire
: « Il est donc clair qu’une Europe fédérée serait, selon le sens co
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eunesse éternelle. Qui serait Méphisto dans notre
affaire
? Inutile de chercher personne. On ne trouvera jamais qu’un système e
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propos, vous établissez, dans L’Avenir est notre
affaire
, une comparaison entre les procédés des terroristes et ceux de ce qu
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it qu’il n’y a que le nucléaire pour nous tirer d’
affaire
lorsqu’il n’y aura plus de pétrole, on sous-entend : il n’y a que le
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78)j k Votre dernier livre L’Avenir est notre
affaire
paraît être la somme de vos réflexions depuis quarante ans. On y ret
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feignant de croire que l’avenir était davantage l’
affaire
de l’ordinateur que celles des hommes. Mais c’est finalement toujours
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et nous rend irresponsables. L’Avenir est notre
affaire
peut se définir comme un essai de morale traitant de l’homme « libre
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nt. Vous dites à la fois que « l’avenir est notre
affaire
» et que trop de facteurs interviennent pour que l’on puisse prévoir
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nation ». Dans votre ouvrage, L’Avenir est notre
affaire
, vous dites que l’État moderne, centralisé, n’a d’autres forces que
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r le chapeau suivant : « Avec L’Avenir est notre
affaire
(éd. Stock), Denis de Rougemont pose cette question cruciale : où al
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ites dans votre livre : « Que l’avenir soit notre
affaire
n’implique pas que nous soyons libres de faire à notre guise n’import
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lement une belle formule. 18. L’Avenir est notre
affaire
est un best-seller. Pourtant, c’est un livre qui n’est pas particuli
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on sens. Son dernier ouvrage, L’Avenir est notre
Affaire
(Stock), publié il y a quelques mois, est sur la liste des best-sell
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part. Dans son dernier livre, L’Avenir est notre
affaire
, il raconte ce qu’il appelle une histoire de fous : celle de l’auto.
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ioran, je crois, qui a défini L’Avenir est notre
affaire
comme la « méditation apocalyptique d’un optimiste ». Je me demande,
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différent, un avenir qui deviendrait enfin notre
affaire
. Je vous répondrai très nettement. Ce que j’ai voulu écrire — encore
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tte lutte ? Vous écrivez dans L’Avenir est notre
affaire
que seules les communautés permettraient à l’homme de reprendre en m
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istes semblait avoir chassés. L’Avenir est notre
affaire
relève en effet de disciplines aussi diverses que la science, l’écon
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’écrive ce qui allait devenir L’Avenir est notre
affaire
. J’étais plutôt réticent. Je multipliais les objections (j’avais tan
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gemont Denis de, « [Entretien] L’Avenir est notre
affaire
ou la méditation apocalyptique d’un optimiste », Hachette-Information
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les Éditions Stock ont publié L’Avenir est notre
affaire
. Sous ce titre en forme de manifeste, Denis de Rougemont s’est attac
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mont et de parler avec lui de L’Avenir est notre
affaire
, des thèmes qu’il aborde et des échos qu’il a suscités. »
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nt motivée : l’avenir de l’Europe est aussi notre
affaire
! t. Rougemont Denis de, « De l’Europe des États coalisés à l’Euro
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inez leur action… Les gouvernements expédient les
affaires
courantes jusqu’à la fin de leurs mandats. Pourtant le club de Rome a
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u siècle ; ils sont trop petits pour conduire les
affaires
du monde et ne se tirent d’affaire en Europe que ceux dont la dimensi
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conduire les affaires du monde et ne se tirent d’
affaire
en Europe que ceux dont la dimension est à une échelle régionale comm
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leur manquent pour traiter effectivement de leurs
affaires
. Leur efficacité est au niveau de la région qui est le mot-clé de not
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ent de pouvoir. Je crois néanmoins que dans cette
affaire
, certains gouvernements cherchent désormais une porte de sortie, pas
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’elle que son dernier ouvrage L’Avenir est notre
affaire
a tant tardé à paraître. Nous aurions eu quelque difficulté à l’imag
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e j’évoque dans mon projet : « L’avenir est notre
affaire
». L’État-nation ne doit plus empêcher les régions de s’exprimer, de
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ont. Dans son dernier livre : L’Avenir est notre
affaire
(ouvrage passionnant pour qui veut comprendre les bouleversements du
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ir, plus que jamais, décider démocratiquement des
affaires
de notre pays. » Une note finale précise : « Les titres des paragraph
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ù se sont installés déjà des centaines d’hommes d’
affaires
et de conseillers techniques américains. Ils obtiennent du shah d’imp
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a. Quant au problème sexuel, c’est une tout autre
affaire
. La liberté dans la sexualité, nous en jouissons et en souffrons plus
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le des élections, l’auteur de L’Avenir est notre
affaire
, dans un ouvrage qu’il vient de publier en collaboration avec le gro
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ace et de nos maisons louées en commun, ç’a été l’
affaire
nucléaire. St Ex est le premier qui m’ait expliqué les possibilités d
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une autre manière de dire que la culture est une
affaire
d’acquisition et donc d’éducation, mais aussi de création. Suivront p
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vie du genre humain ? L’accusé véritable en cette
affaire
n’est-il pas le modèle occidental, non seulement de civilisation mais
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c’est justement d’arrêter ce Progrès-là et toutes
affaires
cessantes, de stopper ses plus récentes manifestations en Europe, à t
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qui nous engage : l’avenir du Léman, c’est notre
affaire
! 61. État de l’environnement, 1977, publié chaque année par l’O
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à quels hommes et à quels problèmes publics on a
affaire
. Si l’on se trouve en opposition avec le groupe, on a la possibilité
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était. Il est ce que nous saurons en faire, notre
affaire
. 62. « Les robots, enjeux économiques et sociaux », La Documentatio
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rivant quarante ans plus tard L’Avenir est notre
affaire
… Des deux juifs du groupe, l’un était agnostique — Robert Aron — tan
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es portes, il est écrit : « L’avenir, c’est notre
affaire
». Le titre de votre livre a-t-il été utilisé ailleurs qu’à Plogoff ?
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ut de mon livre. En revanche, L’Avenir est notre
affaire
a fait la couverture d’un numéro du Nouvel Observateur, au sujet d’u
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gemont Denis de, « [Entretien] L’avenir est notre
affaire
», Certitudes, Bevaix, mai 1981, p. 28-30. cl. Propos recueillis par
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e à prendre leurs responsabilités. Mais c’est une
affaire
de longue haleine. Il faudra une génération au moins pour que les ge
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arité, de coopération. Ça ne doit pas devenir une
affaire
de bureaucrates, d’administration qui décide à distance. La doctrine
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ue dans la mesure où les communes prendront leurs
affaires
en main et où face à certaines tâches qu’elles ne peuvent mener à bie
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la commune. Construire une grande route, c’est l’
affaire
de la région ; une autoroute, l’affaire d’une fédération de régions.
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, c’est l’affaire de la région ; une autoroute, l’
affaire
d’une fédération de régions. Le fédéralisme est un système complexe d
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la région qui nous concerne ? Le Léman, c’est une
affaire
de région. Pour son sauvetage, il faut que se constitue un mouvement
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ue de Gaulle a choisi de se faire renverser sur l’
affaire
des régions de bien curieuse façon. Écoutez cela : L’avenir dira que