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nseille aux Suisses de se montrer prudents dans l’
affaire
de Bourgogne, où l’Autriche et la France complotent de les précipiter
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s’indignait, il aurait simplement répondu que les
affaires
sont les affaires. On ne peut pas additionner des chiffres et des sen
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rait simplement répondu que les affaires sont les
affaires
. On ne peut pas additionner des chiffres et des sentiments. Il ne fau
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issance de la pensée sur la conduite générale des
affaires
, tel est le dogme fondamental de la mentalité moderne. C’est plus qu’
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res, que le sérieux des gouvernants, des hommes d’
affaires
, des penseurs officiels et des bourgeois moyens, a refusé pendant cen
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e n’est pas à nous, n’est pas notre œuvre, et ses
affaires
ne sont pas nos affaires d’abord, mais les affaires du Royaume de Die
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pas notre œuvre, et ses affaires ne sont pas nos
affaires
d’abord, mais les affaires du Royaume de Dieu. Il me paraît profondém
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faires ne sont pas nos affaires d’abord, mais les
affaires
du Royaume de Dieu. Il me paraît profondément indécent que ces affair
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Dieu. Il me paraît profondément indécent que ces
affaires
soient débattues dans nos Grands Conseils, par des hommes qui parfois
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le, de disposition des esprits. C’est aussi notre
affaire
à nous laïques. Nous n’aimons pas à être dérangés dans nos petites ha