1 ne peuvent plus vivre heureux sans auto. Voilà l’ affaire lancée. La passion de Ford se donne libre cours. Il ne s’agit plus ma

2 lus pur, au plus naïf matérialiste que nous avons affaire ici. Et ses prétentions « idéalistes » n’y changeront rien. D’ailleur

3 -on, que subsiste le peu de morale nécessaire aux affaires , tout ira bien. (On pense que les formes de la morale peuvent exister

4 fois penser à ces gens — on en rencontre dans les affaires — qui se donnent une espèce d’autorité en ne parlant jamais que par a

5 vitablement à l’Esprit — et cette fois nous avons affaire à quelqu’un. Mettons-le en présence du scandale que constitue à ses y

6 térieure qui lui disait : « Si tu te mêles de ces affaires , tu ne seras toi-même, à la fin, pas bien éloigné du vulgaire. » Mais

7 le faut pour mieux vivre et n’en fait jamais une affaire . Homme terriblement vivant, tenté, et décrivant ses tentations comme

8 confia à l’un de ses frères, ne voulant pas avoir affaire aux banques. Lorsqu’il mourut, à 42 ans, il n’en subsistait rien. L’a

9 ir, ta mort est derrière toi, elle n’est plus ton affaire , elle n’est plus ton angoisse. Et surtout, elle n’est plus cette absu

10 à quels hommes et à quels problèmes publics on a affaire . Si l’on se trouve en opposition avec le groupe, on a la possibilité

11 ître chez Stock sous le titre L’Avenir est notre affaire . »