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ans que l’on puisse, et c’est là le tragique de l’
affaire
, dénoncer clairement les coupables, individus ou institutions. Ce qui
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ou son intellect (je ne dis pas son âme, c’est l’
affaire
des Églises), il faudrait se soucier d’être utile, de servir la commu
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ticipent à la vie publique. Celle-ci n’est plus l’
affaire
exclusive des cliques de politiciens de métier. Elle n’est plus l’aff
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iques de politiciens de métier. Elle n’est plus l’
affaire
des partis. Chacun peut s’y intéresser, parce que chacun peut espérer
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t aller très vite. Car le temps fait beaucoup à l’
affaire
. Celui que vous n’auriez pas, Staline le prend. C’est le temps de méd
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on III. L’oiseau fait son nid en un jour — toutes
affaires
cessantes. On peut tout faire step by step, sauf sauter un obstacle.
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ffirmant le principe de la non-ingérence dans les
affaires
intérieures des autres, Moscou désavoue implicitement les partis qui
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uisait alors par une ingérence qualifiée dans les
affaires
d’un autre pays — provenait ainsi d’une théorie, donc d’un fait de cu
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: 40 divisions massées à notre frontière avant l’
affaire
des Balkans… le grand état-major allemand a estimé que ce n’était pas
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Dans son tout dernier livre, L’Avenir est notre
affaire
, il lui a consacré un chapitre intitulé : « Première histoire de fou
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e Rougemont, dans votre livre, L’Avenir est notre
affaire
, vous décrivez une voiture née non pas d’une nécessité économique que
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et en particulier l’industrie automobile à cette
affaire
d’emploi. Mais n’y a-t-il vraiment pas d’autres moyens de créer des e