1
ulle l’avait senti. Il a choisi de tomber sur « l’
affaire
des régions ». Le paladin de l’Europe des nations devenait ainsi le p
2
blasphémateur universel qui connaît trop bien son
affaire
. Pourtant, un tel mordant dans la dénonciation de nos faux-fuyants, u
3
te ? Si je vous réponds que « l’avenir est notre
affaire
», me trouverez-vous pessimiste ou optimiste ? En fin de compte, com
4
ensée et du penseur, je répète que l’avenir est l’
affaire
de chacun de nous, ici et maintenant. Mais le fait est que mes contem