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du travail, ou la superstition du loisir — c’est
affaire
d’accent mis sur le premier ou sur le second membre de la phrase —, c
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es qui se cachent pour agir, ce sont des hommes d’
affaires
qui payent pour cela.) M. Daniel Halévy a fait naguère, de ce point d
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ce ne tient pas les leviers de l’action : c’est l’
affaire
du Parti communiste. Or, ce parti veut bien la liberté, mais d’une ma
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: celle de certains petits cantons suisses où les
affaires
publiques sont discutées par l’assemblée plénière des électeurs, ou L
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ir établi, mais en face de lui. Tout le reste est
affaire
de technique — ou de patience. (Laisser le pouvoir, abandonné à ses m
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e fait, il perd le droit de se plaindre quand les
affaires
, à son avis, vont mal. Ainsi parle un grossier bon sens. 2. Nous voyo
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oublient que la mission d’un peuple n’est pas une
affaire
de calcul. Ils réduisent toute la politique au jeu subalterne des fon
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itards, des techniciens électoraux, des requins d’
affaires
ou des vieux routiers du parlementarisme. Et encore moins de chefs de
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al, au bénéfice de « l’État ». Ainsi naissent les
affaires
« nationales » (étatiques). Gens d’affaires et financiers poussent le
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t les affaires « nationales » (étatiques). Gens d’
affaires
et financiers poussent les princes à créer par superpositions et infi
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on prévoit déjà une « solution diplomatique » des
affaires
d’Espagne. Rideau. Dividendes. Monopole des pyrites d’Espagne. ⁂ Réf