1 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
1 Il doit y avoir un vice constitutif dans toute l’ affaire . Et peut-être facile à trouver. Car, en somme, qu’est-ce que l’Unesco
2 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
2 e ! Notre tour est venu de nous immiscer dans vos affaires . L’Indochine, la Corée ne vous regardent plus. Mais le problème allem
3 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
3 ain. Je vous refuse le droit de vous mêler de mes affaires B. Je croyais qu’il s’agissait d’un barrage, que c’était une affaire,
4 is qu’il s’agissait d’un barrage, que c’était une affaire , et votre affaire d’abord, et que vous me demandiez de m’en mêler. A.
5 t d’un barrage, que c’était une affaire, et votre affaire d’abord, et que vous me demandiez de m’en mêler. A. Vous me jetez dan
6 politiques ? A. Vous vous mêlez de nouveau de mes affaires privées ! Nous irons dénoncer devant l’ONU cette abominable pression 
7 aux requis sans, par là même, intervenir dans vos affaires  ? A. Assez de sophismes et de provocations impérialistes ! Vous êtes
8 excessives en paroles et déficientes en actes. L’ affaire Hitler était locale, politiquement : elle ne concernait que les rappo
9 lutôt religieuse, « idéologique » comme on dit. L’ affaire Nasser est au contraire mondiale, elle compromet l’ensemble des rappo
4 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
10 ratom ralliant enfin l’opposition allemande, et l’ affaire Nenni-Saragat… S. C’est donc sérieux ? Les grands partis s’en mêlent 
11 Daniel-Rops, et un pasteur-député ont parlé de l’ affaire en France. Il est vrai qu’Émile Roche les a suivis dans Le Monde , m
12 émocratique ou non du gouvernement égyptien est l’ affaire des Égyptiens eux-mêmes », déclare l’organe officiel du PC. (Entendon
5 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
13 toujours approuvé l’URSS, disent-ils, c’est leur affaire et non la nôtre de la désapprouver si elle va trop loin. Leur silence
14 tal. La disproportion morale et objective entre l’ affaire du Guatemala et la tragédie de Budapest est tellement criante que l’e
15 , des subventions de l’Aramco aux fellaghas, de l’ affaire Dreyfus et du bûcher de Servet, ni même de la Saint-Barthélemy, non,
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
16 e est un joyeux fatras. On y trouve un récit de l’ affaire Calas, des considérations sur la tolérance chez les Grecs, les Hébreu
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
17 ociale, morale ou religieuse au nom de laquelle l’ affaire de Budapest pourrait être jugée par quiconque. Et seul Sartre, parlan
8 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
18 nion de l’Europe, si l’on me disait que c’est une affaire d’intellectuels, je serais inquiet. Sur une hypocrisie des pseudo-
19 ation suisse de tourner rond : elle n’est pas une affaire de sentiment, ni même de connaissance mutuelle, mais d’allégeance aux
9 1957, Preuves, articles (1951–1968). L’échéance de septembre (septembre 1957)
20 epuis deux ans à propos du drame algérien. Mais l’ affaire a mûri, dans les esprits, tout en se détériorant dans les rues et les
21 git donc pas d’internationaliser (comme on dit) l’ affaire algérienne, par une décision qui condamnerait la France injustement e
22 et vainement. Mais il s’agit de reconnaître que l’ affaire algérienne n’est plus (si elle le fut jamais) une affaire nationale,
23 algérienne n’est plus (si elle le fut jamais) une affaire nationale, ni même internationale, parce qu’elle relève d’une politiq
10 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
24 rouvant au moins leur innocence. Ce n’est pas une affaire de classe, notez-le bien. Presque toutes les mondaines se verront rec
11 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
25 ur Notre Europe, dira-t-on, dans cette immense affaire , perd beaucoup de son importance. Oui, mais la découverte du Cosmos n
12 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
26 science des mythes, des rites et des sites. C’est affaire de pendule autant que de compas, et de poètes autant que d’ingénieurs
13 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
27 fort dramatique mais négative de la conduite des affaires ne manquait pas de surprendre ou de scandaliser les étrangers. C’est
14 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
28 ent une personne irréelle ? — Là est le nœud de l’ affaire  : dans tous les rapports extérieurs, la personne réelle doit représen
29 r. À vrai dire, ma thèse va plus loin : c’est « l’ affaire Pasternak » dans son ensemble, j’entends le drame entre l’auteur, le
30 ans le roman lui-même, que j’interprète comme une affaire d’amour-passion. Voyons les faits. Pasternak écrit un énorme roman (d
15 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
31 t d’autre, renoncer à toute interférence dans les affaires intérieures du voisin, s’en remettre à la « compétition pacifique » p
32 évélerait qu’un léger gain pour l’Occident dans l’ affaire de Berlin, désamorcée.) Aux yeux des peuples du monde entier, les ima
16 1960, Preuves, articles (1951–1968). Sur la détente et les intellectuels (mars 1960)
33 faut, un peu de clarté crue sur les données de l’ affaire paraît utile.) Quoi de changé parce que K. joue la détente ? Une seul
17 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
34 mboles. Mais la sécurité n’est que la moitié de l’ affaire  : l’aventure personnelle, la nouveauté, l’inquiétude, une certaine ré
18 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
35 par lui-même… Qui a perdu, qui a gagné dans cette affaire  ? Question oiseuse ainsi posée en termes de personnes par toute la pr
36 révisions tactiques de l’un et de l’autre restant affaire de conjectures, les choix concrets et objectifs sont évidents. C’est
19 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
37 érêts et de maintenir ou d’augmenter le chiffre d’ affaires , qui définit le sens de la vie pour nos industriels « sérieux ». Et q
38 ales préviennent toute ingérence particulière des affaires suisses dans les affaires fédérales européennes146. La Suisse, qui n’
39 érence particulière des affaires suisses dans les affaires fédérales européennes146. La Suisse, qui n’inquiète personne, se voit
40 it peur aux autres. La Suisse perdrait dans cette affaire son indépendance et ses caractéristiques nationales. Ce serait vouloi
20 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
41 Le dire tout de suite, le dire partout, et toutes affaires cessantes — si l’on veut simplement qu’elles durent147. 9 août. Comme
21 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
42 nus de Paris. Je n’étais pas encore engagé dans l’ affaire . Tout se passait comme si j’avais jugé que le fait de prononcer un ke
43 rapidement les trois composantes principales de l’ affaire . Elles s’étaient déclarées un an auparavant, par une curieuse coïncid
22 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
44 ous noterez que je ne parle pas de relations ou d’ affaires « étrangères » : c’est un mot qu’il nous faut bannir du vocabulaire p