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crire d’un trait, parce que j’y parlerai de notre
affaire
, avec nos mots, dans notre liberté. Après quoi, je pourrai travailler
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t la vérité ce qu’il a dit ! Comment donc ? Ai-je
affaire
à un chrétien ou même à un protestant ? J’essaie de le faire parler.
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c’est juste, ce qu’il a dit ! Il connaît bien son
affaire
. C’est bien comme ça que c’est écrit dans la Bible, il n’a pas dit de
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l’on nomme « difficultés de trésorerie » dans les
affaires
, devient ici, évidemment, un obstacle absolu.) Assuré au moins de que
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ession chez quelques-uns de ceux auxquels j’ai eu
affaire
, c’est que j’ai l’air assez satisfait de mon état, le plaisir de vivr
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ités de l’endroit, sur le rôle qu’ont joué dans l’
affaire
le sous-préfet, ou le député, ou divers margoulins, topazes, etc. Si
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qu’on sort, et le gérant vient me chercher. Notre
affaire
réglée, il croit devoir s’excuser de m’avoir fait passer à côté tout
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». En somme, je ne m’intéresse plus guère à leurs
affaires
. J’ai pris mon parti de cet équilibre indifférent et cordial qui a fi
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ulement d’assurer la prise de cette main. C’est l’
affaire
d’une patience, ou d’une impatience dominée, — et sans doute qu’une c