1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 crire d’un trait, parce que j’y parlerai de notre affaire , avec nos mots, dans notre liberté. Après quoi, je pourrai travailler
2 t la vérité ce qu’il a dit ! Comment donc ? Ai-je affaire à un chrétien ou même à un protestant ? J’essaie de le faire parler.
3 c’est juste, ce qu’il a dit ! Il connaît bien son affaire . C’est bien comme ça que c’est écrit dans la Bible, il n’a pas dit de
4 l’on nomme « difficultés de trésorerie » dans les affaires , devient ici, évidemment, un obstacle absolu.) Assuré au moins de que
5 ession chez quelques-uns de ceux auxquels j’ai eu affaire , c’est que j’ai l’air assez satisfait de mon état, le plaisir de vivr
6 ités de l’endroit, sur le rôle qu’ont joué dans l’ affaire le sous-préfet, ou le député, ou divers margoulins, topazes, etc. Si
7 qu’on sort, et le gérant vient me chercher. Notre affaire réglée, il croit devoir s’excuser de m’avoir fait passer à côté tout
8 ». En somme, je ne m’intéresse plus guère à leurs affaires . J’ai pris mon parti de cet équilibre indifférent et cordial qui a fi
9 ulement d’assurer la prise de cette main. C’est l’ affaire d’une patience, ou d’une impatience dominée, — et sans doute qu’une c
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
10 Problème de la politique actuelle : sera-t-elle l’ affaire du meilleur statisticien, ou, au contraire, de l’homme le plus humain
11 es ou à la mairie, sont communistes et mènent les affaires du pays. Ils vont à toutes les conférences, prennent la parole au Cer
12 st pas par la lecture qu’ils viennent au parti. L’ affaire , pour eux, c’est d’abord de se grouper afin d’entreprendre quelque ch
13 s cuisines communes, et soient fidèles… La grande affaire , c’est de se méfier d’un romantisme communautaire qui se répand dans