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ereux individualistes. C’est donc vraiment de nos
affaires
qu’il s’agit dans cette discussion. Nous y avons notre mot à dire, pe
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lleurs d’autant plus facilement qu’il n’aura plus
affaire
qu’à une poussière d’individus déracinés, n’offrant plus de résistanc
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r la tête, au lieu de discuter sérieusement leurs
affaires
? Que servait de parler et de théoriser dans un monde à ce point stup
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dire ici. En effet : ou bien la culture est une
affaire
d’agrément, un ensemble de spécialités paisibles, un superflu, et alo
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s’indignait, il aurait simplement répondu que les
affaires
sont les affaires. On ne peut pas additionner des chiffres et des sen
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rait simplement répondu que les affaires sont les
affaires
. On ne peut pas additionner des chiffres et des sentiments. Il ne fau
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issance de la pensée sur la conduite générale des
affaires
, tel est le dogme fondamental de la mentalité moderne. C’est plus qu’
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e droite et d’une gauche extrémistes qui, dès « l’
affaire
» liquidée, ont démasqué leur fructueuse entente… Mais rien n’y fait,
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la politique n’était plus guère qu’une annexe des
affaires
. Rien de plus dangereusement utopique que le réalisme d’avant-hier. N
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e fonctionnement technique de la machine, étant l’
affaire
des fonctionnaires — leur nom l’indique — et des conseillers commerci