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Février 1940 Monté hier au Gothard, pour une
affaire
de service. Ce haut lieu de la Suisse, ce vrai cœur de l’Europe, je n
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s’entretuent. C’est vrai. Vous savez traiter vos
affaires
sans canons. Vous nous avez admis, et nous avons, bien entendu, à nou
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vers la richesse et l’Apocalypse n’est pas votre
affaire
, invention des méchants Européens qui font la guerre. OK ! mais je vo
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grand style espagnol. D’où l’importance aussi des
affaires
de l’amour, — cette chose qui n’est même pas insignifiante, hélas, co
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rétexte sacro-saint de ne pas s’immiscer dans les
affaires
locales, elle se borne à l’exportation de films, de vedettes et de br
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subitement que je dois rentrer en ville pour une
affaire
pressante. En vérité j’ignorais quelle affaire, mais je sentais qu’il
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ne affaire pressante. En vérité j’ignorais quelle
affaire
, mais je sentais qu’il fallait rentrer. J’ouvre ma porte et j’entends
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ienne. D’autres « contrôlent » une cinquantaine d’
affaires
des plus diverses, et quoiqu’un peu et même parfois beaucoup moins ri
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rd’hui, je suis président de club de golf. Si les
affaires
vont bien, après la guerre, j’espère m’acheter de nouveau un petit av
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Le dire tout de suite, le dire partout, et toutes
affaires
cessantes — si l’on veut simplement qu’elles durent ensuite17. 12
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ut-il partir ? (Peut-on partir est une tout autre
affaire
.) Il se trouve que j’habite, pour quelques semaines encore, du côté o