1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 Février 1940 Monté hier au Gothard, pour une affaire de service. Ce haut lieu de la Suisse, ce vrai cœur de l’Europe, je n
2 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
2 s’entretuent. C’est vrai. Vous savez traiter vos affaires sans canons. Vous nous avez admis, et nous avons, bien entendu, à nou
3 vers la richesse et l’Apocalypse n’est pas votre affaire , invention des méchants Européens qui font la guerre. OK ! mais je vo
3 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
4 grand style espagnol. D’où l’importance aussi des affaires de l’amour, — cette chose qui n’est même pas insignifiante, hélas, co
5 rétexte sacro-saint de ne pas s’immiscer dans les affaires locales, elle se borne à l’exportation de films, de vedettes et de br
4 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
6 subitement que je dois rentrer en ville pour une affaire pressante. En vérité j’ignorais quelle affaire, mais je sentais qu’il
7 ne affaire pressante. En vérité j’ignorais quelle affaire , mais je sentais qu’il fallait rentrer. J’ouvre ma porte et j’entends
5 1946, Journal des deux mondes. Virginie
8 ienne. D’autres « contrôlent » une cinquantaine d’ affaires des plus diverses, et quoiqu’un peu et même parfois beaucoup moins ri
6 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
9 rd’hui, je suis président de club de golf. Si les affaires vont bien, après la guerre, j’espère m’acheter de nouveau un petit av
10 Le dire tout de suite, le dire partout, et toutes affaires cessantes — si l’on veut simplement qu’elles durent ensuite17. 12
7 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
11 ut-il partir ? (Peut-on partir est une tout autre affaire .) Il se trouve que j’habite, pour quelques semaines encore, du côté o