1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 articipe à la vie publique. Celle-ci n’est plus l’ affaire exclusive des cliques de politiciens de métier. Elle n’est plus l’aff
2 iques de politiciens de métier. Elle n’est plus l’ affaire des partis. Chacun peut s’y intéresser, parce que chacun peut espérer
3 e suis pas un expert ! » Ce dernier mot me tira d’ affaire et m’épargna le soupçon de mauvaise foi que mon refus allait éveiller
4 crise d’idéalisme et qu’elle intervient dans les affaires d’Europe, comme en 1917 et en 1943, on l’accuse de se mêler de ce qu’
5 t sans remerciements, dès qu’ils nous ont tirés d’ affaire . Eh quoi ! Deux ans pour débarquer ! (C’est-à-dire pour créer de tout
2 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
6 passion, sont à ses yeux autant de preuves que l’ affaire est mal engagée et qu’il ferait bien d’y renoncer. Si quelque drame s
7 ’héritage les favorise, soit qu’elles montrent en affaires comme ailleurs une efficiency sans égale. Nous sommes donc en présenc
3 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
8 au bien commun.) Mais quand il rentrera dans les affaires , ou se fera chroniqueur, comme c’est souvent le cas, on publiera de m
9 vous raconte sa vie sentimentale et l’état de ses affaires , enfin vous invite pour un week-end. Pendant vingt ans, le Français
4 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
10 randiloquents témoins de la Crise de 1929, où les affaires périssent et les bureaux se vident au-dessus du 50e étage, pour peu q