1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 , sinon ceci, qui est décisif : nous n’avons plus affaire à des voix isolées, parlant dans le désert et pour l’avenir, mais à d
2 de Churchill à Zurich), sur l’urgence vitale de l’ affaire  ; et un progrès de fait qui évoque pour l’humoriste « l’Enlèvement d’
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
3 ilà qui ne signifie pas un instant qu’elle soit l’ affaire des seuls hommes cultivés ou conscients de ce qu’ils donnent à la cul
4 erre, au hasard de la colonisation, de contacts d’ affaires privés ou d’échanges culturels sporadiques, incroyablement inorganisé
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
5 e la paix comme il l’entend — qu’on se rappelle l’ affaire de Suez en 1956 —, d’assurer seul sa prospérité, de se défendre seul
6 supérieure ou la fin de leur carrière, la fin des affaires « étrangères » et de la défense « nationale » économique ou militaire
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
7 assurer l’efficacité de sa participation dans les affaires du monde. Mais en même temps, les États-nations unitaires et centrali
8 a choisi de s’en aller, précisément à propos de l’ affaire des régions, mal présentée par ses fidèles. Les régions n’ont perdu c
9 (On notera que je ne parle pas de relations ou d’ affaires « étrangères » : c’est un mot qu’il convient de bannir du vocabulaire
5 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
10 e sexe ne sont capables d’engendrer. Ce n’est pas affaire d’opinion, de sentiment ni de morale politique, c’est organique. Il e