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e, n’ont pas la même unanimité lorsqu’il s’agit d’
affaires
politiques. Et cela s’explique à partir de la doctrine même sur laque
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nse de l’Europe ne doit pas rester plus longtemps
affaire
de chiffres : nombre de fusées sol-sol ou sol-air, de bombes de diver
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r qu’on ne connaît que par ses contraintes. C’est
affaire
de régions, non d’État. Or, la tactique qui correspond à la défense d
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écologique, régionaliste, fédéraliste, devienne l’
affaire
d’un seul parti, forçant du même coup tous les autres à se dire contr