1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 s différences s’accusent. Elles ne cesseront de s’ affirmer dans l’ensemble de notre histoire, nonobstant la longue parenthèse du
2 tandis qu’il ne manque pas d’écoles hindoues pour affirmer la réalité du Moi, l’action de la Grâce, voire un Dieu personnel. L’i
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
3 an-historique, tandis que l’Incarnation, comme l’ affirment avec force saint Paul et l’Épître aux Hébreux, s’est opérée « une foi
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
4 celle que l’on voudrait imposer. Les communistes affirment qu’ils sont les instruments du sens inévitable de l’Histoire, légitim
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
5 , donc du péché et de la mort, mais le Credo n’en affirme pas moins sa délivrance finale et sa résurrection. Cette dialectique
6 moyen serait fort incapable de vérifier les faits affirmés par la science, cela revient à dire qu’il a choisi de « croire » — no
7 uis Nicolas de Cuse et Giordano Bruno, et comme l’ affirment aujourd’hui plusieurs astronomes en renom — ou si le cosmos est prati
8 für sich) de l’esprit absolu (synthèse). On peut affirmer sans nulle crainte que ces produits extrêmes de la philosophie idéali
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
9 ir ce qui blesse vraiment leur dignité. Si donc j’ affirme ici ma foi dans le Progrès, ce n’est pas au terme logique d’une exper