1 1963, L’Opportunité chrétienne. Préface
1 angé — et ses conceptions de base — qu’on ne peut affirmer sans un orgueil borné qu’au cours des siècles, des millénaires ou des
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 1. Une fausse nouvelle : « Dieu est mort »
2 te passion de la responsabilité ? D’une volonté d’ affirmer l’homme et ses pouvoirs, répondrait-il. Et c’est d’une manière analog
3 ns l’Histoire autant d’hommes qu’aujourd’hui pour affirmer qu’ils croient leur Dieu vivant. (Cf. les statistiques du christianis
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
4 un ornement traditionnel de notre civilisation. J’ affirme pour ma part que la « note religieuse » est la plus horrible et insup
5 tour, nous adapter, ou au contraire faut-il nous affirmer comme le parti du sacré et de la transcendance ? Je répondrai : il fa
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 3. L’opportunité chrétienne
6 en arrière des risques de la vie. 4° Que l’Église affirme avec force, dans le domaine politique, la Transcendance de son chef,
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
7 la famille et de la vie en société. On peut donc affirmer que dans l’état présent de nos mœurs occidentales, dans l’atmosphère
8 apparences d’un retour à certaines des vertus qu’ affirmaient nos ancêtres, ce ne serait pas à la suite des conseils que quelques s
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
9 isme c’est cela, s’il se confond, comme on nous l’ affirmait , avec ses effets historiques. On vous répond que vous vous trompez du
10 es préconisent. La 2e thèse de Marx sur Feuerbach affirme  : Les philosophes n’ont fait jusqu’ici qu’interpréter diversement le
11 talitaire des gouvernants n’avait pas encore pu s’ affirmer comme elle le fit sous Louis XIV, nous constatons que la première dis
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
12 cteurs de l’Église. Mais voici ce que nous devons affirmer dès maintenant : la théologie de l’œcuménisme considère que la divers
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
13 mais d’orienter tout l’être vers la vérité, et d’ affirmer une vérité qui nous transcende. Et la fonction du christianisme, qui
14 cisme a contre lui son absolutisme foncier, moins affirmé dans le domaine de la doctrine que dans celui de l’éducation et de la