1 un miracle. Elle est encore une œuvre d’art qui n’ agit que par l’atmosphère, par le « charme » qu’elle fait régner. Des lois

2 de ménage que se font les nations d’Europe, il s’ agit moins d’humeurs que de lexiques incompatibles. Ainsi du dialogue Fran

3 t toujours le même drame que nous vivons, qu’il s’ agisse de flèches ou d’obus. Car ce qui compte, en fin de compte, ce n’est p

4 . Souhaitons qu’elle le reste longtemps. Car il s’ agit d’un problème dont la preuve, si elle était jamais administrée, ne po

5 nous, si ce n’est par notre action. Ensuite, il s’ agit de combattre les obstacles à cette union. Ils sont dans l’étroitesse

6 té où les jeunes Européens devraient aller s’il s’ agissait pour eux de partir. Je vois les avantages de l’Amérique et ses défaut

7 t je me dis que le problème est mal posé. Il ne s’ agit ni de « partir » ni de rester, au sens pathétique de ces mots. Il s’a

8 i de rester, au sens pathétique de ces mots. Il s’ agit simplement de circuler. Ce n’est pas très facile, pratiquement ? Mais

9 notre guise. Je répondrais sans hésiter : il ne s’ agit ni de choisir une terre et ses morts contre le globe et ses vivants ;

10 notre porte. Et rien n’est aussi contagieux. Il s’ agirait de l’exorciser. Mais l’attitude que je viens de décrire me paraît pro

11 nnaissait par l’intérieur, et l’on savait qu’il s’ agissait de vie ou de mort, sans compromis imaginable. Je me rappelle ces écol

12 Le droit d’opposition (3 avril 1947)p Il s’ agissait de « démocratiser » l’Allemagne. On en parlait depuis des années. Div

13 t comme telle et, dans le fait, elle est forcée d’ agir comme telle. Je sais bien que les Russes n’aiment guère qu’on les app