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rte quel homme responsable de son existence. Il s’
agit
là d’un phénomène qui déborde dès l’origine le fait d’écrire, le styl
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e le fait d’écrire, le style au sens étroit. Il s’
agit
là d’une équation fondamentale de l’exister, dont la critique personn
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u sens nietzschéen de ce terme) par une volonté d’
agir
dont la victoire est attestée dans Faust, — c’est cela que j’appelle
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es, je distingue deux grandes familles. Les uns n’
agissent
que par le contenu objectif de leurs théories, non par leur style, in
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contraire, un Pascal, un Kierkegaard, un Rimbaud
agissent
bien moins par la vertu de leurs conclusions que par celle de leur dr
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d’abord. Mais pour en tenir un juste compte, il s’
agit
de le subordonner au problème personnel de ces vies, à leur équation
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de l’esthétique, je ne m’en étonnerai point. Il s’
agit
simplement, ici, de rendre plus concrète, grâce au recoupement de deu
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source de l’étrange refus de Goethe, dès qu’il s’
agit
de faire état des choses premières, des fins dernières, en tant que t
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équent doit tous les jours travailler, combattre,
agir
, laisse en paix le monde futur et se contente d’être actif et utile e
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comme le problème technique d’une science qu’il s’
agirait
d’approfondir. C’est bien plutôt pour lui un problème moral : étant d
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une connaissance secrète et des moyens occultes d’
agir
sur les choses, quelle utilisation avons-nous le droit de faire de ce
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choses, sur lesquelles principalement elle devait
agir
au Moyen Âge. Ce n’est plus pour lui un truc qui opère d’une façon to
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r ces lieux règne le désespoir. Il nous faut donc
agir
, si nous voulons la vérité ; agir en vérité, c’est-à-dire agir dans l
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nous faut donc agir, si nous voulons la vérité ;
agir
en vérité, c’est-à-dire agir dans le Christ. Il n’y a donc aucun acte
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voulons la vérité ; agir en vérité, c’est-à-dire
agir
dans le Christ. Il n’y a donc aucun acte possible, aucun acte vrai et
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me peut être transformée. Certes, nous ne pouvons
agir
« qu’en vertu de l’absurde » ; mais cela seul donne un sens à nos vie
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gles, les morales et les lois qui nous disaient d’
agir
dans le même temps qu’elles nous privaient de tout pouvoir, s’évanoui
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rophètes. Cependant la question demeure : comment
agir
, et comment transformer, c’est-à-dire comment obéir à la Parole qui p
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er à ce pieux idéal, non seulement ce n’est point
agir
, non seulement c’est limiter par avance le rôle de la foi, c’est-à-di
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t prévenir l’orgueil. Mais la vision de celui qui
agit
n’est point un jugement des résultats, des créatures ; elle n’est pas
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l est toujours initiation. La vision de celui qui
agit
est tout entière absorbée par l’instant, par le passage de ce qui meu
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urt à ce qui naît, — par le réel. Celui qui doit
agir
, s’il veut juger de soi selon le succès qu’il remporte, n’arrivera ja
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s sans prouver par le fait qu’ils y croient. Il s’
agirait
alors de croire à quelque chose qui légitime ce scepticisme ou cette
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urs comme tous les autres, qu’ils imitent, — et n’
agissent
jamais seuls. » Mais ce que Dieu exige, c’est précisément le contrair
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l n’est plus qu’obéissance — dans la mesure où il
agit
— et pénitence — dans la mesure où sa vocation le dépasse ? Si Kierke
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dans l’instant éternel. 6.Le solitaire peut-il
agir
? Le maléfice hégélien, c’est l’objectivité : cette attitude de l’
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reste à savoir d’où vient ce je, comment il peut
agir
. S’agit-il d’un impérialisme du moi pur, tel que Fichte l’a follement
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savoir d’où vient ce je, comment il peut agir. S’
agit
-il d’un impérialisme du moi pur, tel que Fichte l’a follement rêvé ?
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u ne cours pas grand risque. Si tu dis non, si tu
agis
, elle te tuera peut-être, quitte à fleurir ensuite la tombe du « héro
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e la tombe du « héros », dernière insulte54. Il s’
agit
de savoir maintenant au nom de quoi tu agiras, si tu agis. Un « moi p
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Il s’agit de savoir maintenant au nom de quoi tu
agiras
, si tu agis. Un « moi pur », son premier devoir, c’est de persévérer
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savoir maintenant au nom de quoi tu agiras, si tu
agis
. Un « moi pur », son premier devoir, c’est de persévérer dans son êtr
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mort avec une sorte de sobriété… Le croyant seul
agit
et seul il peut être sujet de son action, mais c’est qu’il est, dans
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parle à tous ou contre tous, chacun croit qu’il s’
agit
des autres, et personne ne se sent atteint ; mais si l’on parle au so
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sion du jugement. Joseph K. a vu le monde avant d’
agir
, et demeure prisonnier de cette vision, qui ne lui laissera plus jama
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tion, un « ailleurs » au moins pressenti, qu’il s’
agirait
de retrouver au travers des lacunes du réel. De quelle nature était l
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arrive qu’un chacun puisse les lire comme s’il s’
agissait
là de lettres écrites précisément pour lui, encore que leur contenu d
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les deux pieds sur la terre et pouvait dès lors y
agir
et s’y promener comme si de rien n’était. Il avait « l’air d’un perce
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s pouvons dire revient à dire au nom de quoi nous
agissons
, malgré l’« absurdité » de notre action, ou ses apparences raisonnabl
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e païenne ? C. M. — J’ai besoin de le croire pour
agir
. L. — Mais qu’est-ce qu’agir ? Est-ce vraiment toi qui agis ? Ou n’es
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in de le croire pour agir. L. — Mais qu’est-ce qu’
agir
? Est-ce vraiment toi qui agis ? Ou n’es-tu pas toi-même agi par de p
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Mais qu’est-ce qu’agir ? Est-ce vraiment toi qui
agis
? Ou n’es-tu pas toi-même agi par de puissantes forces sociales, hist
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e vraiment toi qui agis ? Ou n’es-tu pas toi-même
agi
par de puissantes forces sociales, historiques, et économiques ? Tout
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que si Dieu prévoit tout, tu es alors dispensé d’
agir
, et que ce n’est plus la peine de faire aucun effort. C’est peut-être
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3) C’est parce que Dieu fait tout que nous devons
agir
, selon qu’il nous l’a commandé. C’est parce que Dieu prévoit tout que
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e. En vérité, c’est bien du même problème qu’il s’
agit
. Le seul problème dès qu’on en vient à une épreuve radicale de la vie
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pour que je puisse le passer sous silence. (Il s’
agissait
ici de M. Jacques Chevalier, devenu ministre du gouvernement de Vichy
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nsations, ratures, reprises d’actes manqués… Il s’
agirait
de savoir si la vraie vie est dans ce qu’on fait, ou dans ce qu’on pe
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théologie s’exprime entièrement par des choses, s’
agît
-il même du profond mystère de la liberté des humains en présence de «
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s parle d’une Antiquité, il faut entendre qu’il s’
agit
de celle du pays de Vaud : non pas la grecque, qui est scolaire — pou
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sque d’un rébus, c’est-à-dire d’un visage qu’il s’
agit
de déchiffrer dans un environnement d’objets qui le délimitent. Le v
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lement se manifeste par un signe apparent qu’il s’
agira
de distinguer. C’est ainsi que la formidable moustache dont s’orne ce
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ient plus à l’homme. Au comble de nous-mêmes il s’
agit
d’autre chose que de nous. « Tout notre embrassement n’est qu’une que
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onnaître, c’est faire naître avec soi. »… Il ne s’
agit
évidemment, ici et là, ni de la même poésie ni de la même connaissanc
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a clairement, mais : « Tel est le mystère qu’il s’
agit
de reporter sur le papier de l’encre la plus noire. » Au lieu de : Ré
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tuelle, et tout s’y tient parce que chaque être y
agit
pour tout ce qu’il n’est pas. « Tout cherche partout sa fin, compléme
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Et maintenant, pour se connaître il lui suffit d’
agir
sa vocation. Dans l’acte conscient de la fin qui l’englobe, il n’y a
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ens du romantisme, Ignaz Troxler. Mais encore : s’
agit
-il vraiment des choses qui sont hors de nous, ou bien seulement des c
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cible. Dès lors, la plainte sera la même, qu’il s’
agisse
d’une Thérèse d’Avila ou simplement d’un Ludwig Tieck. Donnez-moi des
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es jours. Pour rejoindre le Tout et l’Unité, il s’
agit
donc de perdre le Divers, de perdre le réel, de se perdre soi-même, p
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ter soi-même, — à cause de cette blessure qu’il s’
agit
d’oublier si l’on ne parvient pas à l’expier. Et en effet, à la faveu
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croyants, mais au contraire il leur est demandé d’
agir
et d’annoncer leur foi. « C’est en confessant de la bouche qu’on parv
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analogues à ceux que nous avons décrits. Il ne s’
agit
pas d’influences, il ne s’agit que de reviviscences — vulgaires, simp
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s décrits. Il ne s’agit pas d’influences, il ne s’
agit
que de reviviscences — vulgaires, simplistes, à bon marché — de certa
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se joue le sort de chaque personne. Oui, qu’il s’
agisse
de l’homme seul ou des masses, ce drame sera toujours le même : c’est