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ue encore profondément les mœurs suisses. Il ne s’
agissait
nullement, à cette époque, d’établir une égalité juridique et théoriq
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plan grandiose qu’avait conçu le Zurichois : il s’
agissait
d’un système d’alliance de combourgeoisie entre les cités germaniques
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ffrir les services aux princes étrangers. Il ne s’
agissait
pas de mercenaires. Les nobles qui possédaient un régiment ne se loua
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spirée par la passion politique… Et pourtant il s’
agit
d’une société politique de notre temps, dans un canton fort évolué :
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ceux de la souveraineté sans restriction, qu’il s’
agisse
des cantons ou des États-nations modernes. Il vaut la peine de citer
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es unes ne connaissent pas les motifs qui peuvent
agir
les autres… Ces députés obligés quelquefois de résister aux vérités l
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reste d’ordre essentiellement collégial, qu’il s’
agisse
des cantons ou de la Confédération. Les décisions importantes du gouv
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a base de tout, nous voyons un calcul juste. Il s’
agissait
, pour les artisans du xixe siècle que les machines mettaient en mesu
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ariser. Aux causes générales de ce phénomène, qui
agissent
dans toute la civilisation occidentale, s’ajoute en Suisse une cause
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lité vigoureuse et vivante, résolue à parler et à
agir
. ⁂ Dans un mémorable Message adressé aux Chambres en 1938 par le Con
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nstitutionnelle et internationale. Au total, il s’
agit
moins d’un choix que d’une nécessité, et d’une fidélité contractuelle