1 us devons […] nous appuyer sur la France. Il ne s’ agit pas de défendre une cité. Il ne s’agit pas de défense. Mais de choix,

2 e. Il ne s’agit pas de défendre une cité. Il ne s’ agit pas de défense. Mais de choix, d’affirmation, de création, de Révolut

3 ètement. En effet, pour Rousseau, il ne pouvait s’ agir que d’une cité très petite, telle celle de Genève. Les inspirateurs d

4 ible de la volonté générale. 17 février 1967 Il s’ agit de recréer des possibilités de communauté humaine définie maintenant,

5 tous ont besoin de responsables individuels, il s’ agit vraiment d’une équipe et non d’un troupeau. La définition de cet état

6 cevoir l’ensemble civique dans lequel on pourrait agir . À partir de cet extrême de la mégalopole — on ne peut pas aller beau

7 sens où je l’ai définie, et le fédéralisme. Il s’ agira , dans une fédération, d’éduquer, de former un type d’homme qui soit u

8 out à fait générale ; dans tous les régimes, il s’ agit de former un certain type d’homme, qui corresponde au régime en quest

9 mêmes formes de pensée se retrouveront quand il s’ agira de formuler les relations entre États ou groupes autonomes réunis en

10 ase existe, sur laquelle fonder cette union. Il s’ agit de l’unité d’une culture, de laquelle participent tous les Européens,

11 nègre américain au xxe siècle ? Tout cela dure, agit et vit en nous de mille manières. Tout cela se combine en figures et

12 que, tout le monde, à peu près, sait de quoi il s’ agit en Europe, et cela peut même définir l’esprit européen, en partie. Il

13 détaché des communautés réelles et l’État-nation agit à sa place dans la gestion des affaires publiques. Identifié à une Pe

14 ns ont commencé », est la phrase importante. Il s’ agit pour nous de savoir quand et comment elles ont commencé, et comment e

15 s, qu’elles soient civiles ou étrangères, qu’il s’ agisse d’une guerre « froide » comme on dira dans notre siècle ou d’une guer

16 s le début comme une religion missionnaire : il s’ agit « d’imposer la liberté au genre humain tout entier », comme le disait

17 va de 1815 à 1914, quatre facteurs d’étatisation agiront  : la conscription militaire universelle et obligatoire, l’instruction

18 mais qu’un mécanisme inexorable était en train d’ agir  : tous les mécanismes stato-nationaux qui s’étaient accumulés depuis

19 hommes trouvaient leurs repères et leurs motifs d’ agir . L’État-nation est un produit de l’histoire européenne dont l’Europe

20 faits, aucun des États d’Europe n’a les moyens d’ agir à sa guise même s’il le voulait, aucun n’est réellement indépendant,

21 re temps, puisqu’il est à la fois trop petit pour agir à l’échelle mondiale, trop grand pour permettre une participation civ

22 topique. Tous les deux sont assez lointains, mais agissent sur le présent, l’un à titre de nostalgie, l’autre à titre d’espéranc

23 té est typiquement un problème fédéraliste : il s’ agit d’unir sans unifier. Actuellement, le principal obstacle à la réalisa

24 s). Au contraire, dans un schéma fédéral, il ne s’ agit pas de garder toute la souveraineté ou de l’abandonner complètement,

25 ouveraineté ou de l’abandonner complètement, il s’ agit d’en déléguer une part à l’autorité fédérale, afin qu’elle puisse gar

26 finir ce qui distingue et unit à la fois, qu’il s’ agisse , comme au concile de Nicée, des deux natures du Christ, dans l’anthro

27 sses, comme dans le cas des Provinces-Unies. Il s’ agit plutôt d’efforts vers une fédération, d’une évolution tendant à une f

28 le pouvoir sur autrui ; dans le fédéralisme, il s’ agit de pouvoir sur soi-même, d’où liberté. Dans la mesure où le fédéralis

29 berté/responsabilité, liberté/puissance), il ne s’ agit pas d’en éliminer un des termes ou de tenter de les fondre en une syn

30 re en une synthèse nécessairement abstraite, il s’ agit , au contraire, de rechercher la meilleure formule d’union sauvegardan

31 plus aux seuls « besoins de l’économie » qu’il s’ agit désormais de répondre (ils ne sont trop souvent que le profit des fir

32 ciétés occidentales. 29 octobre 1971 Si l’on veut agir , il faut choisir : au nom de quelles finalités va-t-on faire les choi

33 l’imposent à l’imagination, et qui, par là même, agissent sur les esprits, c’est-à-dire sur le lieu où tous les événements de l

34 oyens de les réaliser, tandis que les “réalistes” agiront sans trop se poser la question du pourquoi. L’équilibre souhaitable s

35 on lui a toujours dit. Il réfléchit, puis bientôt agit pour son compte. Du simple fait qu’il réfléchit pour lui-même, il dev

36 se manifester. Prenons le cas du langage, il ne s’ agit pas, pour faire une fédération européenne, de mélanger toutes les lan

37 angues, d’arriver à une espèce d’esperanto ; il s’ agit de s’arranger avec des langues différentes, chacun tâchant de parler

38 de parler de son mieux sa propre langue. Il ne s’ agit pas non plus de créer un conformisme général ou de fonctionnalisation

39 nformisme général ou de fonctionnalisation ; il s’ agit au contraire que chacun assume ses responsabilités, ses risques, et t

40 ntre les autres. 28 janvier 1966 Le chrétien doit agir dans le monde, au nom de quelque chose qui vient d’ailleurs, qui est

41 lève en premier lieu, mais qui l’oblige ensuite à agir dans le monde, ce n’est pas un au-delà spatial, comme on se l’imagine

42 acun, alors que chez les auteurs précédents, il s’ agissait toujours de prendre les choses publiques par en haut, du point de vue

43 oir en fonction de finalités déclarées, dont il s’ agit maintenant d’assumer les moyens. 21 janvier 1966 Les deux termes, « p

44 et tous les hommes deviennent ses sujets. Il ne s’ agit donc pas pour eux d’être des citoyens. 21 novembre 1969 Civisme et po

45 fois anticapitaliste et antitotalitaire, qu’il s’ agisse de totalitarisme communiste, fasciste ou nazi. Ce qu’ils voulaient, e